Forum de Kigali sur l’agro-écologie : la transition agro-écologique en marche

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Forum de Kigali sur l’agro-écologie : la transition agro-écologique en marche

Dans le cadre du Programme d’Appui aux initiatives économiques contribuant à une transformation écologique et sociale des territoires ruraux (PAIES) mis en œuvre dans les régions du Sahel (Mali, Niger, Burkina) et des Grands Lacs (Burundi, Rwanda, RDC), Inades Formation Burundi, représentant sous-régional du PAIES, ACORD Rwanda, partenaire du programme au Rwanda, ont organisé du 14 au 16 Septembre 2016 un forum sur l’agro-écologie en collaboration avec le Comité Catholique contre la Faim pour le Développement (CCFD)- Terre Solidaire et l’Agence Française de Développement (AFD).

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Allocution d’ouverture du forum par le Directeur Général de la Planification au Ministère de l’Agriculture et des Ressources Animales du Rwanda

Du 14 au 16 Septembre 2016 s’est tenu à à l’Hôtel Nobleza à Kigali – Rwanda, un forum sur l’agro-écologie dont le thème était : « Agro-écologie dans la Région des Grands Lacs : approche, enjeux, pratiques et perspective ». Le Forum qui s’inscrit dans le cadre du Programme d’Appui aux initiatives économiques contribuant à une transformation écologique et sociale des territoires ruraux (PAIES) mis en œuvre dans les régions du Sahel (Mali, Niger, Burkina) et des Grands Lacs (Burundi, Rwanda, RDC), a été organisé par Inades Formation Burundi qui assure la coordination régionale du programme pour la région des Grands Lacs et ACORD Rwanda partenaire du projet au Rwanda, en collaboration avec le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement (CCFD)- Terre Solidaire et l’Agence Française de Développement (AFD).

L’objectif du forum était de créer un premier espace d’échange d’expériences entre praticiens de l’agro-écologie, et notamment entre les partenaires du programme, et de favoriser le partage d’analyses autour de l’approche agro-écologique et ses enjeux dans les Grands Lacs.

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Vue des participants

L’ouverture du forum a été faite par le Directeur Général chargé de la Planification au Ministère de l’agriculture et des Ressources Animales du Rwanda. Il a vu la participation des partenaires du PAIES dans la région des Grands Lacs et au Sahel, ainsi que d’autres organisations œuvrant dans le domaine de l’agro-écologie en Afrique Subsaharienne. Les participants au nombre de 46 représentant 32 organisations sont venus du Rwanda, du Burundi, de la RDC, de l’Ouganda, de l’Afrique du Sud, de la Côte d’Ivoire, du Mali, et du Niger.

Un panel riche en savoir et en expérience sur l’agro écologie

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Panélistes « Quelles réalités des dynamiques internationales public-privé et l’agriculture intelligente face au climat dans la région des Grands-Lacs » ?

Outre des présentations ayant permis une clarification des concepts théoriques sur l’agro écologie, le changement climatique, ses effets sur l’environnement et les négociations internationales y relatives, la protection du patrimoine génétique et l’arsenal juridique utilisé dans ce domaine, etc., les participants ont bénéficié de témoignages des praticiens de l’agro écologie de la part d’OSC dans tous les pays couverts par le programme PAIES, mais aussi d’expériences d’autres pays d’Afrique et des organisations partenaires du Nord.

Des défis importants à relever

Les participants ont dégagé des défis auxquels la promotion de l’agro-écologie fait face. Il s’agit notamment :

  • Du poids des multinationales qui imposent un modèle agricole prédateur de l’environnement sous couvert d’objectifs et d’appellations alléchantes, influencent les politiques agricoles des pays du Nord et du Sud, en recourant à la corruption au besoin, accélèrent le passage du patrimoine génétique du domaine public au domaine privé à grands renforts de dispositions juridiques iniques, introduisent dans la nature des semences dont la dégénérescence programmée constitue une terrible menace pour le vivant végétal ;
  • Du désengagement progressif de nombreux Etats Africains en matière d’investissement agricole au profit d’opérateurs privés pour lesquels la nourriture est juste un bien commercial, avec priorisation de politiques agricoles commerciales au détriment de politiques alimentaires soucieuses de la justice sociale et de la dignité humaine ;
  • De la nécessité de pérenniser le savoir-faire paysan face aux exigences actuelles de la conservation et de l’amélioration du patrimoine génétique ; etc.

Des recommandations pertinentes du forum

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Travaux de groupe

Le forum a fait des recommandations pertinentes à savoir :

  • la nécessité d’une clarification des priorités de l’agriculture africaine et des concepts que nous utilisons en matière d’agro-écologie ;
  • l’amélioration des indicateurs de performance et de changement en matière de promotion de l’agro-écologie qui doit pouvoir nourrir toutes les populations pour assurer sa crédibilité ;
  • la nécessité d’accompagner techniquement les paysans dans la production de semences améliorées au lieu de s’attendre à ce que l’Etat fasse ce travail ; l’instauration de mécanismes de certifications locales peu coûteuses par rapport aux pratiques actuelles, trop onéreuses pour les organisations paysannes ;
  • la poursuite du plaidoyer contre l’hégémonie des multinationales agricoles, contre l’accaparement des terres et pour le renforcement des compétences de négociations des pays du Sud ;
  • un meilleur suivi de la prochaine Conférence de Rabat sur le lien entre le climat et l’agriculture ;
  • l’organisation dans chaque pays de tables rondes d’échanges sur les résultats et les recommandations du forum de Kigali, etc.

Un chantier immense pour Inades-Formation au service du bien commun

Porte-flambeau de la promotion de l’agriculture familiale durable, Inades-Formation est décidé à apporter sa contribution à la réussite de ce vaste chantier de l’agro-écologie, qui doit articuler trois dimensions essentielles pour avoir des chances de succès : les pratiques, la recherche (étude de cas) et le mouvement social (conscience citoyenne et plaidoyer). L’homme a besoin de produire sans détruire, nourrir le monde en soignant la planète et promouvoir la souveraineté alimentaire. Vaste programme en perspective.

PAIES : un programme pour promouvoir et favoriser l’adoption de pratiques de pratiques agricoles durables, respectueuses des écosystèmes et des ressources naturelles

L’objectif global du PAIES est de « promouvoir un processus de transformation sociale et écologique des territoires ruraux de la région du Sahel et de la région des Grands Lacs, permettant aux populations de ces zones rurales de vivre bien et durablement tout en étant solidaires d’autres territoires ». Dans la région des Grands-Lacs, ce programme qui est financé conjointement par le CCFD-Terre Solidaire et l’AFD et est mis en œuvre au Burundi par ACORD Burundi, CAPAD (Confédération des Associations des Producteurs Agricoles pour le Développement)et Inades-Formation Burundi ; au Rwanda par ACORD Rwanda ; en RDC par UWAKI Nord-Kivu, sous la coordination régionale d’Inades-Formation Burundi. Dans la zone Sahel, il est mis en oeuvre par AOPP (Association des Organisations Professionnelles Paysannes) et RHK ( Réseau Régional Horticole de Kayes) au Mali, Viim Baoré et UBTEC au Burkina (Union des Baoré Tradition d’Epargne Crédit/Naam) et les fédérations Mooriben et FCMN-Niya au Niger. LA coordination régionale y est assurée par l’IRPAD (Institut de recherche pour la promotion des alternatives de développement) au Mali.

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Vue des participants

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Projet ABCD2

Projet ABCD-Un élève un arbre COP28

1. Titre du projet

Accompagnement de la mise à l’échelle des expériences développées par les communautés et des dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques en réponse au problème du changement climatique en Afrique subsaharienne (dit projet ABCD 2)

2. Resumé

Le projet de mise à l’échelle des expériences communautaires et dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques face au changement climatique en Afrique subsaharienne est la continuation d’un premier projet de capitalisation desdites expériences.

En effet, en 2022, sur financement de l’Agence Basque de Coopération au Développement (ABCD), Inades-Formation a mené le projet « Etude-capitalisation des bonnes pratiques face aux défis du changement climatique et gouvernance locale en Afrique subsaharienne », qui a permis de capitaliser 50 expériences dont 31 expériences d’adaptation au changement climatique et 19 expériences de gouvernance dans 11 pays en Afrique sub-saharienne.

Sur la base des acquis de ce projet pilote, quelques réalités vivantes sur les efforts des communautés en matière de lutte contre les problèmes posés par le changement climatique en Afrique ont pu être décelées et capitalisées. Elles ont été développées par une diversité d’acteurs dont des services publics spécialisés sur la gestion de l’environnement et du changement climatique, les organisations de la société civile et les organisations paysannes.

Dans le cadre de cette deuxième phase du projet dont la durée est de 30 mois (2022-2024), l’idée est de (i) mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique et de (ii) soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés.

3. Objectif général

Contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, à travers la promotion à grande échelle des expériences locales et des mesures politiques concertées relatives aux mécanismes d’adaptation, d’atténuation et de résilience des populations vulnérables, surtout les populations rurales en Afrique subsaharienne.

4. Objectifs spécifiques

  • Mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique
  • Soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés

5. Période de réalisation : Juin 2022 à novembre 2024

6. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Le projet est réalisé dans 11 pays : Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d’Ivoire, Kenya, RD Congo, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Tchad et Togo.

7. Partenaire financier

Agence Basque de Coopération et de Développement (ABCD)

9. Partenaires de mise en oeuvre

17 organisations de développement local, porteuses de projets qui dupliqueront dans les bonnes expériences capitalisées dans la phase 1 du projet. Elles ont été sélectionnées sur la base des critères d’évaluation d’efficacité, efficience, pertinence, durabilité et équité basée sur le genre, suite à un appel à projet lancé par Inades-Formation.

Liste des organisations et leurs projets

Pays

Organisation

Titre du projet

1

Burkina Faso

UGF-CDN

Renforcement de la résilience des femmes au changement climatique par la promotion des pratiques agroécologiques. Cas de la ferme agroécologique des femmes de l’Union des Groupements Féminins Ce Dwane Nyee (UGF/CDN), province du Sanguie Région du Centre Ouest Burkina Faso

2

Burkina Faso

Inades-Formation Burkina

Renforcement de l’écocitoyenneté par l’éducation environnementale des élèves de la commune de Arbollé dans la région du nord du Burkina Faso

3

Burundi

Inades-Formation Burundi

Promotion de l’éducation environnementale en milieu scolaire pour faire face au changement climatique

4

Cameroun

FAP NGO CAMEROON

Promotion of Community Initiatives to Protect Common Interest Resources in Cameroon

5

Côte d’Ivoire

CDD-CI

Un élève, un arbre pour lutter contre l’érosion côtière et la disparition des mangroves

6

RD Congo

UWAKI Nord-Kivu

Projet d’appui à la valorisation des semences paysannes dans les unions de Luofu, Kipese et Lubero en territoire de Lubero au Nord-Kivu / RDC. Inspiré de l’expérience de l’Union des groupements Naam de Koumbri au Burkina Faso

7

RD Congo

ACOSYF

L’éducation environnementale à la base pour répondre aux problèmes du changement climatique dans la Chefferie de Kaziba en RD Congo

8

Kenya

Inades-Formation Kenya

The scaling up of experiences developed by communities and the dynamics of school-based re-afforestation initiatives to address climate change in Kenya

9

Rwanda

RECOR Rwanda

Affordable solar pumps for small-scale irrigation, a revolutionary technology to help farmers increase their resilience capacity to climate change issues in Rwanda

10

Rwanda

Inades-Formation Rwanda

Démultiplication de la pratique de greffage des arbres fruitiers pour l’augmentation de la résilience au changement climatique des agriculteurs du district Bugesera

11

Sénégal

7A MAA REWEE

Projet de promotion de la conservation de l’agro-biodiversité par le renforcement des capacités et la documentation des variétés de semences locales au Sénégal

12

Tanzanie

Inades-Formation Tanzanie

Promotion of community seed banks for the conservation of agro-biodiversity through capacity building and documentation of local seed varieties in Kondoa and Chemba Districts of Dodoma Region, Tanzania”

13

Tchad

Inades-Formation Tchad

Promotion de banques de semences, Démultiplier l’Expériences de Seeds Savers Network /Kenya

14

Tchad

ATASANPE Tchad

Démultiplier le projet « Un élève, un arbre » développé par ACOSYF RD Congo

15

Togo

APAD International Togo

La gouvernance des espaces protégés : Cas des flancs de montagne à Agou au Togo

16

Togo

Inades-Formation Togo

Systèmes d’exploitation familiale intégrée continue et compétitive pour une résilience paysanne face au changement climatique dans la commune de Tchamba 2

17

Togo

JVE Togo

Gouvernance des systèmes semenciers locaux auprès des coopératives de femmes de la forêt classée d’Assimé pour la résilience climatique

Projet ACF-AO

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1. Titre du projet

Projet action climatique féministe – Afrique de l’ouest ACF-AO

2. Resumé

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est mis en œuvre en Côte d’Ivoire pour contribuer efficacement à la résilience et à lutte contre les effets du changement climatique par les communautés côtières et insulaires écologiquement sensibles avec un accent particulier sur les femmes rurales et le jeunes. 

Il renforcera les capacités des communautés, des femmes et des jeunes en particulier, pour la mise en œuvre de stratégies de protection de la biodiversité et d’écosystèmes notamment par l’adoption de pratiques agroécologiques, la diversification énergétique et des plaidoyers. Il permettra de renforcer la participation des femmes rurales et des jeunes à la gouvernance locale de la biodiversité et l’action climatique.

Financé par Affaires mondiales Canada | Global Affairs Canada, le projet ACF AO se déroule en Côte d’Ivoire, en Guinée-Bissau, au Sénégal et au Togo.

Il est piloté en Côte d’Ivoire par SUCO et Inades-Formation – Secrétariat Général.

3. Contexte

Les changements climatiques menacent de faire basculer près d’un million d’ivoiriens supplémentaires dans l’extrême pauvreté, d’augmenter le risque de stress hydrique, avec de plus en plus de régions qui devraient voir plus de 10 % de leur population en pénurie d’eau, et d’augmenter la recrudescence des maladies associées à l’air et à l’eau parmi les populations sensibles (Contributions Déterminées au niveau National, CDN-COTE D’IVOIRE, mars 2022). Selon la Banque Mondiale, d’ici 2050, la Côte d’Ivoire sera confrontée à une augmentation de la température de deux degrés Celsius en moyenne, à une plus grande variabilité pluviométrique et une élévation du niveau de la mer de 30 cm le long du littoral (Banque Mondiale, 2018a).

Ces changements climatiques affectent tous les secteurs de développement. Cependant, les différences entre les hommes et les femmes dans leurs rapports avec leur environnement, les différences dans la composition des secteurs économiques et l’accès inégal aux ressources et aux prises de décision amplifieront les impacts des changements climatiques sur certaines catégories de population dont les femmes.

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est donc une réponse à cette réalité.

4. Objectif général

Renforcer l’adaptation aux changements climatiques des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans les régions côtières et insulaires écologiquement sensibles en Côte d’Ivoire.

5. Objectifs spécifiques

  • Accroitre l’influence des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans le plaidoyer politique sur le climat et dans la gouvernance des écosystèmes à forte biodiversité et vulnérables aux changements climatiques.
  • Accroitre l’adoption de solutions basées sur la nature telles que l’agroécologie, la protection et la restauration des écosystèmes et de la biodiversité, pour l’adaptation aux changements climatiques, par les femmes rurales et autochtones et les jeunes.
  • Renforcer la résilience climatique des femmes rurales et autochtones et des jeunes par l’autonomisation économique et la diversification énergétique.

6. Période de réalisation : 2023 - 2026

7. Public cible / bénéficiares: Jeunes 41 % & Femmes rurales et autochtones 59 %

8. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Adiaké, Grand-Bassam, Jacqueville et Grand-Lahou.

9. Actions du projets

·       Diagnostic les obstacles et facteurs facilitant la participation active des groupes cibles dans les instances de décision de la gestion de biodiversité et du climat ;

·       Diagnostics participatifs réalisés par les instances locales sur la vulnérabilité climatique des écosystèmes et identification de mesures et stratégies d’adaptation sensibles au genre ;

·       Formations des femmes rurales et autochtones et les jeunes pour renforcer et maintenir leur participation dans les instances de décision ;

·       Formations des bénéficiaires sur les politiques climatiques et de conservation de la biodiversité ;

·       Formations des communautés participantes en développement des affaires, chaines de valeurs inclusives, gestion de coopérative, et mise en marché direct réalisées

·       Ateliers villageois de sensibilisation et de formation sur les mesures d’atténuation et d’adaptation favorisant la biodiversité et sensibles au genre réalisés dans les communautés participantes.

·       Plans de gestion et d’aménagement des écosystèmes conçus et mis en œuvre dans les communautés participantes.

·       Appui technique et financier aux communautés participantes pour la réalisation de pratiques agro écologiques résilientes au climat (micro-élevage, agroforesterie, maraichage, apiculture et ostréiculture) ; pour renforcer l’accès à l’eau productive, aux intrants et équipements agricoles ; pour l’installation de pépinières et reboisement des écosystèmes côtiers

·       Équipements solaires et éco énergétiques pour la production, la transformation et la conservation des aliments et formations sur l’utilisation et l’entretien des équipements

·       Mise en réseau des femmes et jeunes et plaidoyer

 

·       Appuis et renforcement des systèmes d’épargne et de crédit fournis aux groupements de femmes.

10. Partenaires techniques et financiers

Projet financé par Affaire Mondiale Canada et mis en œuvre par INTERPARES, SUCO et leurs partenaires dont Inades-Formation – Secrétariat Général pour la Cote d’Ivoire.

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