Mise en œuvre de l’approche SAADEV : « Nous sommes confiants avec le BN du Burkina Faso pour la suite » Pascal Baridomo

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Inades-Formation Burkina a reçu du 26 février au 02 mars 2018 le Directeur des Programmes du Secrétariat Général d’Inades-Formation. Il était là pour une mission d’appui à l’appropriation collective de la mise en œuvre contextualisée de la nouvelle approche stratégique «  SAADEV  ».  Durant cinq jours, Pascal Baridomo a travaillé avec les membres de l’équipe du Bureau National (BN)  d’Inades-Formation Burkina sur les différents paramètres de la nouvelle approche d’intervention du réseau Inades-Formation. Dans l’entretien qui suit, le Directeur des programmes du Secrétariat Général d’Inades-Formation nous fait en quelque sorte le point de sa mission au Burkina Faso. Lisez plutôt !

 

  1. Quel était l’objet de votre mission au niveau du Burkina Faso ?

Notre mission s’inscrivait dans le cadre de la mise en œuvre de la nouvelle approche stratégique d’Inades-Formation dénommée Stimulation et Accompagnement des Alternatives de Développement (SAADEV). Cette approche est appelée à contribuer au niveau d’Inades-Formation à la finalité de la mission qui est de « Servir le bien commun » et à l’objectif de développement institutionnel qui est de repositionner Inades-Formation comme un courant de pensée et un mouvement social. La mission que nous avons effectuée s’inscrivait dans le cadre d’un appui demandé par le bureau national Inades-Formation Burkina.

Le premier objectif de cette mission au Burkina Faso était de s’assurer que les membres de l’équipe technique d’Inades-Formation Burkina Faso ont une compréhension approfondie et harmonisée sur les piliers de l’approche SAADEV selon la logique de l’institution. En second lieu, il était question d’amener les membres de l’équipe technique d’Inades-Formation Burkina Faso à établir des repères de la mise en œuvre de l’approche SAADEV dans le cadre de chaque programme structurant, dans le contexte du pays.

  1. En quoi était-il important de réaliser cette mission au Burkina ?

Notre mission fait suite à une demande que le BN a exprimée parmi les interventions attendues du Secrétariat général d’Inades-Formation en 2018. Cette demande a rencontré le consentement du Secrétariat général compte tenu de la mission qui est la sienne et du souci de s’assurer de la mise en œuvre effective de cette approche. Sur cette thématique le BN du Burkina Faso a ouvert une série d’appuis prévus dans d’autres BN du réseau Inades-Formation. La mission au Burkina Faso s’inscrit parmi les quatre interventions prévues en 2018 sur le même sujet à savoir au Burkina, Burundi, Rwanda et en Tanzanie. De façon particulière, nous avons commencé avec le BN du Burkina car il envisage actualiser son plan stratégique. Il était nécessaire que l’équipe fasse collectivement à temps le point sur comment passer de la compréhension théorique à la pratique, dans chaque programme structurant et qu’elle profite de cette mission pour lever collectivement certaines équivoques ressenties. Etant une première mission en cette matière, nous avons été attentifs aux questionnements soulevés pour cibler ceux qui peuvent faire l’objet de partage inter BN. Il faut signaler au passage que les différents programmes structurants sont : Systèmes alimentaires basés sur l’agriculture familiale, microfinance communautaire, Gouvernance inclusive, résilience face au changement climatique.

  1. Quelle appréciation faites-vous du déroulement des travaux dans le cadre de votre mission au niveau d’Inades-Formation Burkina ?

Nous avons apprécié le fait que tous les cadres impliqués dans les différents projets étaient présents aux travaux. La participation a été active. Parmi les membres de l’équipe qui ont suivi le processus de réflexion sur la nouvelle approche, un point focal a été désigné pour assurer la co-animation de la session et cela a facilité le travail. Nous avons remarqué que les réflexions de groupe selon les domaines d’expertises des membres de l’équipe, les séances de mise au point en plénière et le système de rapporteurs journaliers ont favorisé le caractère participatif historiquement reconnu dans les méthodes d’Inades-Formation. Ces méthodes et outils nous ont permis de cerner ce que les participants ont retenu par étape. Nous sommes confiants avec le BN du Burkina Faso pour la suite.

  1. Quels sont les résultats spécifiques auxquels vous êtes parvenus au cours de votre mission ?

De mon point de vue, dans un premier temps, nous retenons que la réappropriation collective du cadre conceptuel et des piliers de l’approche SAADEV a été effective. Elle a abouti à une compréhension commune des implications de la nouvelle approche sur le travail du BN.

Au moins deux alternatives à développer ont été identifiées par programme structurant. La démarche de Recherche Action Formation a été contextualisée à travers un des projets en cours d’exécution, celui relatif à la valorisation des vivres de souveraineté.

De plus, un travail d’équipe a permis de s’exercer dans l’identification des exemples illustratifs de la mise en œuvre de chacun des sept fondements de la SAADEV, pour influencer les pratiques, le comportement , la pensée, le langage , les apprentissages, au niveau de chacun des programmes structurants. Les acquis de cet exercice vont aider dans la formulation du plan stratégique, dans l’analyse du contexte et l’élaboration de futurs projets basés sur les alternatives qui prennent en compte différents aspects de la transformation de la société. Ce fut par exemple l’occasion d’étudier le lien étroit entre le changement en matière de pratiques et celui en matière de langage, de comportement.

  1. Quel changement votre appui pourrait engendrer au niveau d’Inades-Formation Burkina ?

Le changement au niveau d’Inades-Formation Burkina est déjà perceptible. Les exemples illustratifs des changements à poursuivre dans le cadre de la prise en compte des fondements de la SAADEV, de la finalité de la mission ont été identifiés et mis en discussion au cours de nos travaux. Ces exemples constituent une base pour les prochains projets à élaborer et la mise en œuvre des projets en cours. Nous retenons des témoignages de certains participants aux travaux que la mission a permis de concrétiser à travers des situations illustratives des notions qui paraissaient encore théoriques. C’est notamment les notions de courant de pensée, mouvement social, bien commun et les fondements.  Il faut retenir au sujet des fondements de référence de la SAADEV, qu’il y en a sept : Solidarité, soutenabilité, économie redistributive, contrôle citoyen, équité ouverture aux autres, recherche -action- formation.

Nous pouvons confirmer que le changement immédiatement impulsé est relatif aux modalités de mise en pratique des références institutionnelles mises à jour dans les réflexions sur la nouvelle approche stratégique. Nous notons également l’intériorisation de la notion de produit-service spécifique, alternative spécifique dans le but de développer des expertises-maisons par programme structurant. Cela permet au BN de se questionner continuellement sur l’apport spécifique dans son domaine d’intervention pour aller « vers un bureau concepteur des modèles et non uniquement consommateur de modèles de pensées par les autres ».

  1. Quelles sont les perspectives des travaux que vous avez eus au niveau du BN du Burkina Faso ?

La première perspective est de produire un rapport de mission qui s’apparente à un guide technique. Cela se justifie par le fait que la mission réalisée consistait à passer autant que possible de la compréhension de la théorie à la pratique. Il est prévu que le BN traduise en actions, les piliers de cette nouvelle approche ainsi que d’autres repères institutionnels qui en découlent.

Il y a un travail qui sera poursuivi avec chaque chargé de programme pour enrichir la contextualisation de contenus des repères illustratifs de fondements par programme structurant. La conception et le montage des projets seront basés sur les alternatives de développement.

Ensuite, nous veillerons au suivi de la prise en compte des acquis de cette mission lors de l’élaboration d’un plan stratégique que le BN prévoit au cours de ce premier semestre 2018. Les produits des travaux faits au cours de cette mission serviront également de base pour l’animation des apprentissages inter-BN.

Enfin, la référence à la nouvelle approche et aux acquis de cette mission, fera qu’Inades-Formation Burkina soit davantage un courant de pensée reconnu au Burkina Faso pour ses théories-maisons, à leur tour, traduite sur le terrain à travers lesdites alternatives de développement.

M. Baridomo Pascal en animation devant le personnel d’Inades-Formation Burkina

Propos recueillis par Patrice DA

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Projet ABCD2

Projet ABCD-Un élève un arbre COP28

1. Titre du projet

Accompagnement de la mise à l’échelle des expériences développées par les communautés et des dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques en réponse au problème du changement climatique en Afrique subsaharienne (dit projet ABCD 2)

2. Resumé

Le projet de mise à l’échelle des expériences communautaires et dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques face au changement climatique en Afrique subsaharienne est la continuation d’un premier projet de capitalisation desdites expériences.

En effet, en 2022, sur financement de l’Agence Basque de Coopération au Développement (ABCD), Inades-Formation a mené le projet « Etude-capitalisation des bonnes pratiques face aux défis du changement climatique et gouvernance locale en Afrique subsaharienne », qui a permis de capitaliser 50 expériences dont 31 expériences d’adaptation au changement climatique et 19 expériences de gouvernance dans 11 pays en Afrique sub-saharienne.

Sur la base des acquis de ce projet pilote, quelques réalités vivantes sur les efforts des communautés en matière de lutte contre les problèmes posés par le changement climatique en Afrique ont pu être décelées et capitalisées. Elles ont été développées par une diversité d’acteurs dont des services publics spécialisés sur la gestion de l’environnement et du changement climatique, les organisations de la société civile et les organisations paysannes.

Dans le cadre de cette deuxième phase du projet dont la durée est de 30 mois (2022-2024), l’idée est de (i) mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique et de (ii) soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés.

3. Objectif général

Contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, à travers la promotion à grande échelle des expériences locales et des mesures politiques concertées relatives aux mécanismes d’adaptation, d’atténuation et de résilience des populations vulnérables, surtout les populations rurales en Afrique subsaharienne.

4. Objectifs spécifiques

  • Mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique
  • Soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés

5. Période de réalisation : Juin 2022 à novembre 2024

6. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Le projet est réalisé dans 11 pays : Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d’Ivoire, Kenya, RD Congo, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Tchad et Togo.

7. Partenaire financier

Agence Basque de Coopération et de Développement (ABCD)

9. Partenaires de mise en oeuvre

17 organisations de développement local, porteuses de projets qui dupliqueront dans les bonnes expériences capitalisées dans la phase 1 du projet. Elles ont été sélectionnées sur la base des critères d’évaluation d’efficacité, efficience, pertinence, durabilité et équité basée sur le genre, suite à un appel à projet lancé par Inades-Formation.

Liste des organisations et leurs projets

Pays

Organisation

Titre du projet

1

Burkina Faso

UGF-CDN

Renforcement de la résilience des femmes au changement climatique par la promotion des pratiques agroécologiques. Cas de la ferme agroécologique des femmes de l’Union des Groupements Féminins Ce Dwane Nyee (UGF/CDN), province du Sanguie Région du Centre Ouest Burkina Faso

2

Burkina Faso

Inades-Formation Burkina

Renforcement de l’écocitoyenneté par l’éducation environnementale des élèves de la commune de Arbollé dans la région du nord du Burkina Faso

3

Burundi

Inades-Formation Burundi

Promotion de l’éducation environnementale en milieu scolaire pour faire face au changement climatique

4

Cameroun

FAP NGO CAMEROON

Promotion of Community Initiatives to Protect Common Interest Resources in Cameroon

5

Côte d’Ivoire

CDD-CI

Un élève, un arbre pour lutter contre l’érosion côtière et la disparition des mangroves

6

RD Congo

UWAKI Nord-Kivu

Projet d’appui à la valorisation des semences paysannes dans les unions de Luofu, Kipese et Lubero en territoire de Lubero au Nord-Kivu / RDC. Inspiré de l’expérience de l’Union des groupements Naam de Koumbri au Burkina Faso

7

RD Congo

ACOSYF

L’éducation environnementale à la base pour répondre aux problèmes du changement climatique dans la Chefferie de Kaziba en RD Congo

8

Kenya

Inades-Formation Kenya

The scaling up of experiences developed by communities and the dynamics of school-based re-afforestation initiatives to address climate change in Kenya

9

Rwanda

RECOR Rwanda

Affordable solar pumps for small-scale irrigation, a revolutionary technology to help farmers increase their resilience capacity to climate change issues in Rwanda

10

Rwanda

Inades-Formation Rwanda

Démultiplication de la pratique de greffage des arbres fruitiers pour l’augmentation de la résilience au changement climatique des agriculteurs du district Bugesera

11

Sénégal

7A MAA REWEE

Projet de promotion de la conservation de l’agro-biodiversité par le renforcement des capacités et la documentation des variétés de semences locales au Sénégal

12

Tanzanie

Inades-Formation Tanzanie

Promotion of community seed banks for the conservation of agro-biodiversity through capacity building and documentation of local seed varieties in Kondoa and Chemba Districts of Dodoma Region, Tanzania”

13

Tchad

Inades-Formation Tchad

Promotion de banques de semences, Démultiplier l’Expériences de Seeds Savers Network /Kenya

14

Tchad

ATASANPE Tchad

Démultiplier le projet « Un élève, un arbre » développé par ACOSYF RD Congo

15

Togo

APAD International Togo

La gouvernance des espaces protégés : Cas des flancs de montagne à Agou au Togo

16

Togo

Inades-Formation Togo

Systèmes d’exploitation familiale intégrée continue et compétitive pour une résilience paysanne face au changement climatique dans la commune de Tchamba 2

17

Togo

JVE Togo

Gouvernance des systèmes semenciers locaux auprès des coopératives de femmes de la forêt classée d’Assimé pour la résilience climatique

Projet ACF-AO

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1. Titre du projet

Projet action climatique féministe – Afrique de l’ouest ACF-AO

2. Resumé

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est mis en œuvre en Côte d’Ivoire pour contribuer efficacement à la résilience et à lutte contre les effets du changement climatique par les communautés côtières et insulaires écologiquement sensibles avec un accent particulier sur les femmes rurales et le jeunes. 

Il renforcera les capacités des communautés, des femmes et des jeunes en particulier, pour la mise en œuvre de stratégies de protection de la biodiversité et d’écosystèmes notamment par l’adoption de pratiques agroécologiques, la diversification énergétique et des plaidoyers. Il permettra de renforcer la participation des femmes rurales et des jeunes à la gouvernance locale de la biodiversité et l’action climatique.

Financé par Affaires mondiales Canada | Global Affairs Canada, le projet ACF AO se déroule en Côte d’Ivoire, en Guinée-Bissau, au Sénégal et au Togo.

Il est piloté en Côte d’Ivoire par SUCO et Inades-Formation – Secrétariat Général.

3. Contexte

Les changements climatiques menacent de faire basculer près d’un million d’ivoiriens supplémentaires dans l’extrême pauvreté, d’augmenter le risque de stress hydrique, avec de plus en plus de régions qui devraient voir plus de 10 % de leur population en pénurie d’eau, et d’augmenter la recrudescence des maladies associées à l’air et à l’eau parmi les populations sensibles (Contributions Déterminées au niveau National, CDN-COTE D’IVOIRE, mars 2022). Selon la Banque Mondiale, d’ici 2050, la Côte d’Ivoire sera confrontée à une augmentation de la température de deux degrés Celsius en moyenne, à une plus grande variabilité pluviométrique et une élévation du niveau de la mer de 30 cm le long du littoral (Banque Mondiale, 2018a).

Ces changements climatiques affectent tous les secteurs de développement. Cependant, les différences entre les hommes et les femmes dans leurs rapports avec leur environnement, les différences dans la composition des secteurs économiques et l’accès inégal aux ressources et aux prises de décision amplifieront les impacts des changements climatiques sur certaines catégories de population dont les femmes.

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est donc une réponse à cette réalité.

4. Objectif général

Renforcer l’adaptation aux changements climatiques des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans les régions côtières et insulaires écologiquement sensibles en Côte d’Ivoire.

5. Objectifs spécifiques

  • Accroitre l’influence des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans le plaidoyer politique sur le climat et dans la gouvernance des écosystèmes à forte biodiversité et vulnérables aux changements climatiques.
  • Accroitre l’adoption de solutions basées sur la nature telles que l’agroécologie, la protection et la restauration des écosystèmes et de la biodiversité, pour l’adaptation aux changements climatiques, par les femmes rurales et autochtones et les jeunes.
  • Renforcer la résilience climatique des femmes rurales et autochtones et des jeunes par l’autonomisation économique et la diversification énergétique.

6. Période de réalisation : 2023 - 2026

7. Public cible / bénéficiares: Jeunes 41 % & Femmes rurales et autochtones 59 %

8. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Adiaké, Grand-Bassam, Jacqueville et Grand-Lahou.

9. Actions du projets

·       Diagnostic les obstacles et facteurs facilitant la participation active des groupes cibles dans les instances de décision de la gestion de biodiversité et du climat ;

·       Diagnostics participatifs réalisés par les instances locales sur la vulnérabilité climatique des écosystèmes et identification de mesures et stratégies d’adaptation sensibles au genre ;

·       Formations des femmes rurales et autochtones et les jeunes pour renforcer et maintenir leur participation dans les instances de décision ;

·       Formations des bénéficiaires sur les politiques climatiques et de conservation de la biodiversité ;

·       Formations des communautés participantes en développement des affaires, chaines de valeurs inclusives, gestion de coopérative, et mise en marché direct réalisées

·       Ateliers villageois de sensibilisation et de formation sur les mesures d’atténuation et d’adaptation favorisant la biodiversité et sensibles au genre réalisés dans les communautés participantes.

·       Plans de gestion et d’aménagement des écosystèmes conçus et mis en œuvre dans les communautés participantes.

·       Appui technique et financier aux communautés participantes pour la réalisation de pratiques agro écologiques résilientes au climat (micro-élevage, agroforesterie, maraichage, apiculture et ostréiculture) ; pour renforcer l’accès à l’eau productive, aux intrants et équipements agricoles ; pour l’installation de pépinières et reboisement des écosystèmes côtiers

·       Équipements solaires et éco énergétiques pour la production, la transformation et la conservation des aliments et formations sur l’utilisation et l’entretien des équipements

·       Mise en réseau des femmes et jeunes et plaidoyer

 

·       Appuis et renforcement des systèmes d’épargne et de crédit fournis aux groupements de femmes.

10. Partenaires techniques et financiers

Projet financé par Affaire Mondiale Canada et mis en œuvre par INTERPARES, SUCO et leurs partenaires dont Inades-Formation – Secrétariat Général pour la Cote d’Ivoire.

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