La PANAFCI met à l’honneur la femme rurale, pilier d’une Côte d’Ivoire sans faim

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La femme rurale en Côte d’Ivoire comme ailleurs, joue un rôle très important dans la production alimentaire. Il est donc primordial d’accorder une attention particulière à ses conditions de travail et de vie.  C’est pourquoi la PANAFCI (Plateforme d’Action nationale pour l’Agriculture Familiale en Côte d’Ivoire) a décidé de mettre  la femme rurale à l’honneur le samedi  08 décembre 2018. L’événement s’est déroulé à Daloa.

« L’économie ivoirienne est essentiellement basée sur l’agriculture. Cette dernière occupe 67% de la main d’œuvre féminine qui travaille dans l’agriculture de subsistance et assure 60 à 80 % de la production alimentaire ». Ces propos, tenus par le représentant de la Directrice de l’Agriculture de Daloa lors de la journée de la femme rurale, pilier d’une Côte d’Ivoire sans faim, organisée par la PANAFCI, viennent confirmer le bien-fondé de cette journée dédiée à la femme rurale.

Une journée de gratitude à la femme rurale pour le rôle crucial qu’elle joue dans la sécurité alimentaire en Côte d’Ivoire à travers ses activités agricoles Une journée également destinée à attirer l’attention des décideurs et du public sur les contributions des femmes rurales à une Côte d’Ivoire sans faim et les encourager et à soutenir ces femmes à travers la mise en place de mesures et programmes pour contribuer à l’amélioration de leurs conditions de travail et de vie.

Ainsi, le samedi 8 décembre 2018, Plus de 800 femmes venues  des coopératives et groupements du département ont répondu à l’appel de cette journée qui a eu pour  thème « la femme rurale, pilier d’une Côte d’Ivoire sans faim ».

La  journée a connu quatre temps forts notamment une caravane de solidarité, une cérémonie officielle de lancement, une cérémonie de remise de dons aux structures accueillant des populations vulnérables et une exposition-vente solidaire.

La caravane populaire de solidarité avec les femmes

Les femmes de Daloa et celles venues des différentes plateformes régionales de la PANAFCI, vêtues de tee-shirt aux couleurs de la PANAFCI et marqués du thème de la journée, ont parcouru les rues de Daloa en une caravane. Au son de la fanfare et brandissant des banderoles sur lesquelles étaient inscrites les demandes de la PANAFCI à l’attention des autorités publiques.

Ainsi, au passage de la caravane pouvait-on lire les messages de plaidoyer suivants :

  • Pour une Côte d’Ivoire sans faim, militons pour le renforcement de la sécurité foncière pour les femmes et les jeunes
  • Nous demandons que les Conseils régionaux allouent au moins 10 % de leurs budgets au financement de l’agriculture familiale
  • Nous demandons des mesures spécifiques d’assouplissement fiscal pour les sociétés coopératives du secteur vivrier.
  • Soutenons les familles agricoles ivoiriennes – MANGEONS LOCAL

La caravane a conduit les femmes à la place Pétanque de Daloa où se sont rassemblés invités et autres participants.

Une cérémonie d’ouverture solennelle et de remise de dons en présence des autorités de la ville

La  cérémonie officielle de lancement de la journée a vu la participation des autorités préfectorales, du Conseil régional, municipales et de la direction régionale de l’agriculture.

La série des allocutions a débuté par  le représentant du maire de Daloa qui a dit le traditionnel Akwaba à tous et sa joie d’accueillir dans sa commune la première édition de

cette journée.

le président de la plateforme régionale de la PANAFCI du Haut-Sassandra ; le représentant de la directrice régionale de l’agriculture, la porte-parole de la présidente de la PANAFCI et le représentant du Préfet de région du Haut-Sassandra, préfet du département de Daloa.

A sa suite, le président de la plateforme PANAFCI de la région du Haut-Sassandra a souligné l’urgence de soutenir les agricultrices et agriculteurs pour que perdurent les cultures traditionnelles, parce que dit-il : « le secrétaire général d’Inades-Formation nous a demandé du riz local. Il voulait du riz local à cette journée. Pour moi, ce serait une petite affaire d’en trouver, mais à ma grande honte,  je n’ai pu en trouver que très peu. Parce que les semences sont en voie de disparition. »

Quant au représentant de la Directrice de l’Agriculture de Daloa, il a dans son allocution également reconnu le travail accompli par les femmes et la nécessité de les soutenir : « …nous sommes unanimes qu’en aidant la femme, c’est une nation qui se construit. Merci chères femmes pour tout ce que vous faites pour vos maris, vos frères, vos enfants, en un mot bref pour l’humanité ».

La porte-Parole de la présidente de la PANAFCI, Mme N’Guessan N’Dri Aimé n’a pas manqué dans son adresse de faire le plaidoyer pour une meilleure prise en compte des besoins de la femme rurale afin de lui permettre d’être davantage performante pour une Côte d’Ivoire sans faim.

Elle a au nom des femmes, demandé que l’accès à la terre et à la propriété foncière soit une réalité pour les femmes, qu’elles aient accès aux financements pour renforcer leurs activités agricoles et à l’éducation afin d’être à même de défendre leur droit et vivre décemment de leurs activités.

Quelques morceaux choisis de son discours :

« …Les femmes ivoiriennes méritent de la reconnaissance et c’est dans cette logique que la Plateforme d’Action Nationale pour l’Agriculture Familiale en Côte d’Ivoire (PANAFCI) a choisi dans le cadre de ces activités, de leur dédier une journée symbolique ».

 « …Que seraient nos sociétés sans les femmes ? …Elles ont de tous temps, été les piliers d’une Côte d’Ivoire sans faim, habituées des corvées d’eau lointaines et des récoltes harassantes pour ne recevoir en général qu’une partie très faible de la terre, du crédit, de la formation ou de l’information agricole. La conjugaison de tous ces facteurs limitants accentue la féminisation de la pauvreté surtout en milieu rural et affecte son épanouissement ».

« …Chers décideurs politiques publiques et chefs traditionnels et coutumiers, la PANAFCI vous sera très reconnaissante de bien vouloir garantir aux femmes l’accès à la terre ; oui, il faut leur faciliter l’accès au crédit ; oui, il faut leur garantir l’accès à l’instruction pour mieux connaitre et défendre leurs droits. C’est à l’évidence cette approche qui pourrait garantir leur autonomisation, leur permettre de se lever et s’élever pour la construction et le rayonnement d’une Côte d’Ivoire sans faim ! »

Le plaidoyer de la PANAFCI, à en croire le représentant du Préfet de la région du Haut-Sassandra, préfet du département de Daloa qui  présidait la manifestation n’est pas tombé dans des oreilles de sourds. Il a été entendu et sera transmis au Préfet.

La cérémonie, agrémentée par des animations traditionnelles et un défilé de femmes en tenue traditionnelle a été suivie  par une remise de dons de la PANAFCI aux populations vulnérables.

  

Plus de 6 tonnes de produits alimentaires, offerts par les membres de la PANAFCI, ont été remis à la prison civile, au centre de léproserie et à la maternité du CHR de Daloa. On pouvait y voir de la banane plantain, des pâtes d’arachide, du riz local, de l’igname, de la patate, des papayes, etc., fruits des travaux des femmes rurales.

Ces dons matérialisent et « traduisent l’esprit de solidarité nécessaire pour une Côte d’Ivoire sans faim ». Solidarité entre les femmes, solidarité entre les producteurs, les commerçants et les consommateurs, solidarité entre les campagnes et les villes.

Remise du don à la maternité du CHR de Daloa. Don réceptionné par le représentant du Conseil Régional de Daloa.
Remise du don au centre de léproserie par le Représentant du Préfet de Région de Daloa
Le représentant de la léproserie posant devant le lot de don reçu
Remise du don à la prison civile par le 6ème adjoint au maire de Daloa
Le représentant de la prison civile posant devant le lot de don reçu

Une exposition-vente pour marquer la solidarité entre productrices et consommateurs

Une autre marque de solidarité entre productrices et consommateurs s’est traduite par l’exposition vente solidaire dénommée « Grenier Ivoire ». Une exposition pour présenter le savoir et le savoir-faire des femmes rurales. Une exposition pour offrir à la population des produits agricoles de qualité et à prix solidaire. Une exposition pour que la population manifeste à travers ses visites et ses achats sa solidarité envers les femmes.

Le grenier Ivoire a été visité par les officiels qui ont écouté les exposantes et exposants présenter leurs produits et par divers autres participants et visiteurs.

Tous les produits apportés des terroirs ont été acheté par les officiels ainsi que les participants, encourageant les autres éditions à faire plus.

   

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Projet ABCD2

Projet ABCD-Un élève un arbre COP28

1. Titre du projet

Accompagnement de la mise à l’échelle des expériences développées par les communautés et des dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques en réponse au problème du changement climatique en Afrique subsaharienne (dit projet ABCD 2)

2. Resumé

Le projet de mise à l’échelle des expériences communautaires et dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques face au changement climatique en Afrique subsaharienne est la continuation d’un premier projet de capitalisation desdites expériences.

En effet, en 2022, sur financement de l’Agence Basque de Coopération au Développement (ABCD), Inades-Formation a mené le projet « Etude-capitalisation des bonnes pratiques face aux défis du changement climatique et gouvernance locale en Afrique subsaharienne », qui a permis de capitaliser 50 expériences dont 31 expériences d’adaptation au changement climatique et 19 expériences de gouvernance dans 11 pays en Afrique sub-saharienne.

Sur la base des acquis de ce projet pilote, quelques réalités vivantes sur les efforts des communautés en matière de lutte contre les problèmes posés par le changement climatique en Afrique ont pu être décelées et capitalisées. Elles ont été développées par une diversité d’acteurs dont des services publics spécialisés sur la gestion de l’environnement et du changement climatique, les organisations de la société civile et les organisations paysannes.

Dans le cadre de cette deuxième phase du projet dont la durée est de 30 mois (2022-2024), l’idée est de (i) mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique et de (ii) soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés.

3. Objectif général

Contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, à travers la promotion à grande échelle des expériences locales et des mesures politiques concertées relatives aux mécanismes d’adaptation, d’atténuation et de résilience des populations vulnérables, surtout les populations rurales en Afrique subsaharienne.

4. Objectifs spécifiques

  • Mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique
  • Soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés

5. Période de réalisation : Juin 2022 à novembre 2024

6. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Le projet est réalisé dans 11 pays : Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d’Ivoire, Kenya, RD Congo, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Tchad et Togo.

7. Partenaire financier

Agence Basque de Coopération et de Développement (ABCD)

9. Partenaires de mise en oeuvre

17 organisations de développement local, porteuses de projets qui dupliqueront dans les bonnes expériences capitalisées dans la phase 1 du projet. Elles ont été sélectionnées sur la base des critères d’évaluation d’efficacité, efficience, pertinence, durabilité et équité basée sur le genre, suite à un appel à projet lancé par Inades-Formation.

Liste des organisations et leurs projets

Pays

Organisation

Titre du projet

1

Burkina Faso

UGF-CDN

Renforcement de la résilience des femmes au changement climatique par la promotion des pratiques agroécologiques. Cas de la ferme agroécologique des femmes de l’Union des Groupements Féminins Ce Dwane Nyee (UGF/CDN), province du Sanguie Région du Centre Ouest Burkina Faso

2

Burkina Faso

Inades-Formation Burkina

Renforcement de l’écocitoyenneté par l’éducation environnementale des élèves de la commune de Arbollé dans la région du nord du Burkina Faso

3

Burundi

Inades-Formation Burundi

Promotion de l’éducation environnementale en milieu scolaire pour faire face au changement climatique

4

Cameroun

FAP NGO CAMEROON

Promotion of Community Initiatives to Protect Common Interest Resources in Cameroon

5

Côte d’Ivoire

CDD-CI

Un élève, un arbre pour lutter contre l’érosion côtière et la disparition des mangroves

6

RD Congo

UWAKI Nord-Kivu

Projet d’appui à la valorisation des semences paysannes dans les unions de Luofu, Kipese et Lubero en territoire de Lubero au Nord-Kivu / RDC. Inspiré de l’expérience de l’Union des groupements Naam de Koumbri au Burkina Faso

7

RD Congo

ACOSYF

L’éducation environnementale à la base pour répondre aux problèmes du changement climatique dans la Chefferie de Kaziba en RD Congo

8

Kenya

Inades-Formation Kenya

The scaling up of experiences developed by communities and the dynamics of school-based re-afforestation initiatives to address climate change in Kenya

9

Rwanda

RECOR Rwanda

Affordable solar pumps for small-scale irrigation, a revolutionary technology to help farmers increase their resilience capacity to climate change issues in Rwanda

10

Rwanda

Inades-Formation Rwanda

Démultiplication de la pratique de greffage des arbres fruitiers pour l’augmentation de la résilience au changement climatique des agriculteurs du district Bugesera

11

Sénégal

7A MAA REWEE

Projet de promotion de la conservation de l’agro-biodiversité par le renforcement des capacités et la documentation des variétés de semences locales au Sénégal

12

Tanzanie

Inades-Formation Tanzanie

Promotion of community seed banks for the conservation of agro-biodiversity through capacity building and documentation of local seed varieties in Kondoa and Chemba Districts of Dodoma Region, Tanzania”

13

Tchad

Inades-Formation Tchad

Promotion de banques de semences, Démultiplier l’Expériences de Seeds Savers Network /Kenya

14

Tchad

ATASANPE Tchad

Démultiplier le projet « Un élève, un arbre » développé par ACOSYF RD Congo

15

Togo

APAD International Togo

La gouvernance des espaces protégés : Cas des flancs de montagne à Agou au Togo

16

Togo

Inades-Formation Togo

Systèmes d’exploitation familiale intégrée continue et compétitive pour une résilience paysanne face au changement climatique dans la commune de Tchamba 2

17

Togo

JVE Togo

Gouvernance des systèmes semenciers locaux auprès des coopératives de femmes de la forêt classée d’Assimé pour la résilience climatique

Projet ACF-AO

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1. Titre du projet

Projet action climatique féministe – Afrique de l’ouest ACF-AO

2. Resumé

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est mis en œuvre en Côte d’Ivoire pour contribuer efficacement à la résilience et à lutte contre les effets du changement climatique par les communautés côtières et insulaires écologiquement sensibles avec un accent particulier sur les femmes rurales et le jeunes. 

Il renforcera les capacités des communautés, des femmes et des jeunes en particulier, pour la mise en œuvre de stratégies de protection de la biodiversité et d’écosystèmes notamment par l’adoption de pratiques agroécologiques, la diversification énergétique et des plaidoyers. Il permettra de renforcer la participation des femmes rurales et des jeunes à la gouvernance locale de la biodiversité et l’action climatique.

Financé par Affaires mondiales Canada | Global Affairs Canada, le projet ACF AO se déroule en Côte d’Ivoire, en Guinée-Bissau, au Sénégal et au Togo.

Il est piloté en Côte d’Ivoire par SUCO et Inades-Formation – Secrétariat Général.

3. Contexte

Les changements climatiques menacent de faire basculer près d’un million d’ivoiriens supplémentaires dans l’extrême pauvreté, d’augmenter le risque de stress hydrique, avec de plus en plus de régions qui devraient voir plus de 10 % de leur population en pénurie d’eau, et d’augmenter la recrudescence des maladies associées à l’air et à l’eau parmi les populations sensibles (Contributions Déterminées au niveau National, CDN-COTE D’IVOIRE, mars 2022). Selon la Banque Mondiale, d’ici 2050, la Côte d’Ivoire sera confrontée à une augmentation de la température de deux degrés Celsius en moyenne, à une plus grande variabilité pluviométrique et une élévation du niveau de la mer de 30 cm le long du littoral (Banque Mondiale, 2018a).

Ces changements climatiques affectent tous les secteurs de développement. Cependant, les différences entre les hommes et les femmes dans leurs rapports avec leur environnement, les différences dans la composition des secteurs économiques et l’accès inégal aux ressources et aux prises de décision amplifieront les impacts des changements climatiques sur certaines catégories de population dont les femmes.

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est donc une réponse à cette réalité.

4. Objectif général

Renforcer l’adaptation aux changements climatiques des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans les régions côtières et insulaires écologiquement sensibles en Côte d’Ivoire.

5. Objectifs spécifiques

  • Accroitre l’influence des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans le plaidoyer politique sur le climat et dans la gouvernance des écosystèmes à forte biodiversité et vulnérables aux changements climatiques.
  • Accroitre l’adoption de solutions basées sur la nature telles que l’agroécologie, la protection et la restauration des écosystèmes et de la biodiversité, pour l’adaptation aux changements climatiques, par les femmes rurales et autochtones et les jeunes.
  • Renforcer la résilience climatique des femmes rurales et autochtones et des jeunes par l’autonomisation économique et la diversification énergétique.

6. Période de réalisation : 2023 - 2026

7. Public cible / bénéficiares: Jeunes 41 % & Femmes rurales et autochtones 59 %

8. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Adiaké, Grand-Bassam, Jacqueville et Grand-Lahou.

9. Actions du projets

·       Diagnostic les obstacles et facteurs facilitant la participation active des groupes cibles dans les instances de décision de la gestion de biodiversité et du climat ;

·       Diagnostics participatifs réalisés par les instances locales sur la vulnérabilité climatique des écosystèmes et identification de mesures et stratégies d’adaptation sensibles au genre ;

·       Formations des femmes rurales et autochtones et les jeunes pour renforcer et maintenir leur participation dans les instances de décision ;

·       Formations des bénéficiaires sur les politiques climatiques et de conservation de la biodiversité ;

·       Formations des communautés participantes en développement des affaires, chaines de valeurs inclusives, gestion de coopérative, et mise en marché direct réalisées

·       Ateliers villageois de sensibilisation et de formation sur les mesures d’atténuation et d’adaptation favorisant la biodiversité et sensibles au genre réalisés dans les communautés participantes.

·       Plans de gestion et d’aménagement des écosystèmes conçus et mis en œuvre dans les communautés participantes.

·       Appui technique et financier aux communautés participantes pour la réalisation de pratiques agro écologiques résilientes au climat (micro-élevage, agroforesterie, maraichage, apiculture et ostréiculture) ; pour renforcer l’accès à l’eau productive, aux intrants et équipements agricoles ; pour l’installation de pépinières et reboisement des écosystèmes côtiers

·       Équipements solaires et éco énergétiques pour la production, la transformation et la conservation des aliments et formations sur l’utilisation et l’entretien des équipements

·       Mise en réseau des femmes et jeunes et plaidoyer

 

·       Appuis et renforcement des systèmes d’épargne et de crédit fournis aux groupements de femmes.

10. Partenaires techniques et financiers

Projet financé par Affaire Mondiale Canada et mis en œuvre par INTERPARES, SUCO et leurs partenaires dont Inades-Formation – Secrétariat Général pour la Cote d’Ivoire.

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