The Intensive Rice System (IRS) : a godsend for rice farmers

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Inades-Formation Burundi, in order to increase rice production in the developed marshes, has introduced the technique of « Intensive Rice Growing System (IRS) » in the 3 rice cooperatives it supports in Maramvya in the commune of Mutimbuzi in the west of the country, and in Kabo and Kibaba in the commune of Nyanza-lac in the south of the country. One hundred and twenty (120) rice growers, members of these 3 rice cooperatives, have been trained in the SRI technique.

After the theoretical and practical training, held in December 2018 and 2019, the trained rice farmers set up control plots of about 14.5 ha in the three marshlands (Kibaba, Kabo and Maramvya). These control plots, cultivated using the SRI technique, were set up near another field cultivated without applying this method, in order to allow comparison between yields.

Theoretical training

While the average rice yield per hectare without SRI was less than 4 tons per hectare depending on the locality, the average rice yield obtained with the SRI technique was 6.5 tons per hectare. The average yield of rice obtained with the SRI technique was 6.5 tons per hectare. SRI promotes the physiological potential of rice, which can develop its capacity to form a large number of tillers. Rice production thus doubled or even tripled in terms of tonnage per hectare in the 3 rice cooperatives of Maramvya, Nyanza-lac and Kabo during the B 2018 and B 2019 growing seasons. The production obtained has thus made it possible to recoup the high investments of the hydro-agricultural works carried out in the project’s areas of action.

In view of the good results obtained during the first trials of the SRI, the number of members of the cooperatives has continued to grow, and the number of rice growers who have adopted the SRI has increased from 165 to 587.

Transplanted plot

Definite advantages for rice farmers

With the SRI method, rice farmers have realized 3 types of advantages:

  • A saving of seeds 

For one hectare, SRI requires row sowing with a seedling spacing of 25 x 25 cm and a seed quantity of 4.8 kg of seed per hectare, whereas previously rice farmers used more than 100 kg of seed per hectare.

  • An increase in rice yield per hectare

The average production recorded per hectare depends on the locality. Indeed, by respecting the conditions of physiological development of rice with SRI, for the cooperatives of Nyanza-lac (Kabo and Kibaba), the yields obtained oscillate around 8 to 9 tons per hectare, while in the cooperative of Maramvya, an average of 6 to 8 tons per hectare was obtained.

  • Saving water 

Contrary to popular belief, rice is not an aquatic plant. SRI is a minimum water rice crop. The necessary amount of water is given when needed. During the vegetative phase, a water layer of 1 cm must be maintained, and then the rice fields are emptied to oxygenate the soil.

Rice in the flowering stage

The introduction of SRI in the three cooperatives supported by Inades-Formation Burundi was carried out within the framework of the programme « Promotion of food sovereignty and women’s participation in rural Burundi », financed by the Basque Government.

In view of the more than satisfactory results, Inades-Formation Burundi will continue to disseminate this method in all the areas where the beneficiary members of the three cooperatives cultivate rice.

Rice harvest

Inades-Formation Burundi

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Projet ABCD2

Projet ABCD-Un élève un arbre COP28

1. Titre du projet

Accompagnement de la mise à l’échelle des expériences développées par les communautés et des dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques en réponse au problème du changement climatique en Afrique subsaharienne (dit projet ABCD 2)

2. Resumé

Le projet de mise à l’échelle des expériences communautaires et dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques face au changement climatique en Afrique subsaharienne est la continuation d’un premier projet de capitalisation desdites expériences.

En effet, en 2022, sur financement de l’Agence Basque de Coopération au Développement (ABCD), Inades-Formation a mené le projet « Etude-capitalisation des bonnes pratiques face aux défis du changement climatique et gouvernance locale en Afrique subsaharienne », qui a permis de capitaliser 50 expériences dont 31 expériences d’adaptation au changement climatique et 19 expériences de gouvernance dans 11 pays en Afrique sub-saharienne.

Sur la base des acquis de ce projet pilote, quelques réalités vivantes sur les efforts des communautés en matière de lutte contre les problèmes posés par le changement climatique en Afrique ont pu être décelées et capitalisées. Elles ont été développées par une diversité d’acteurs dont des services publics spécialisés sur la gestion de l’environnement et du changement climatique, les organisations de la société civile et les organisations paysannes.

Dans le cadre de cette deuxième phase du projet dont la durée est de 30 mois (2022-2024), l’idée est de (i) mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique et de (ii) soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés.

Projet ACF-AO

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1. Titre du projet

Projet action climatique féministe – Afrique de l’ouest ACF-AO

2. Resumé

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est mis en œuvre en Côte d’Ivoire pour contribuer efficacement à la résilience et à lutte contre les effets du changement climatique par les communautés côtières et insulaires écologiquement sensibles avec un accent particulier sur les femmes rurales et le jeunes. 

Il renforcera les capacités des communautés, des femmes et des jeunes en particulier, pour la mise en œuvre de stratégies de protection de la biodiversité et d’écosystèmes notamment par l’adoption de pratiques agroécologiques, la diversification énergétique et des plaidoyers. Il permettra de renforcer la participation des femmes rurales et des jeunes à la gouvernance locale de la biodiversité et l’action climatique.

Financé par Affaires mondiales Canada | Global Affairs Canada, le projet ACF AO se déroule en Côte d’Ivoire, en Guinée-Bissau, au Sénégal et au Togo.

Il est piloté en Côte d’Ivoire par SUCO et Inades-Formation – Secrétariat Général.

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