France withdraws from NAFSN: agribusiness is not the cure for hunger!

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Press release

France withdraws from NAFSN: agribusiness is not the cure for hunger!

Paris, February 8th, 2018

 

Action Against Hunger, the CCFD-Terre Solidaire and Oxfam France greet France decision to withdraw from the New Alliance for Food Security and Nutrition (NAFSN) as announced today during the inter-ministry council for international cooperation and development meeting.

Launched in 2012, this initiative favours the interest of transnational agribusiness corporations to the detriment of peasant agriculture. It has been denounced by hundreds of organisations1 for its negative impacts on food security and peasantry in the ten involved African countries2. The stakes behind France withdrawal is now to recognize that the so-called « magic bullet » mixing public-private partnerships and legislative reforms to create an enabling environment for transnational companies’ investments, is not the solution to fight hunger. On the contrary, it goes against the interest of local populations, marginalizes family farms – although they produce 70% of the global food items – to the benefit of a few transnational companies which are given all the facilities : finance, taxes, land tenure.

Our organisations have repeatedly documented the negative consequences of such a system in Burkina Faso or in Ivory Coast: land grabbing, peasants’ debt, introduction of GMO crops and settlement of growth corridors which are true agricultural tax heavens, etc3.

France withdrawal should be taken into account by the other NAFSN partners, such as the European Union and African States. Germany, another main contributor to the NAFSN, must also announce its withdrawal. This does not clear any of these actors from redressing the negative impacts of this initiative as they remain responsible for it.

Beyond NAFSN, France must learn from this failure and no longer engage in investment projects and initiatives comporting similar flaws. The exclusion of farmers’ organisations from the governance, the absence accountability frameworks and the prioritisation of transnational companies to the detriment of local actors is not the cure to hunger.

Thus, while world hunger is rising4, the withdrawal from NAFSN must be the signal for a genuine rethink of mobilized supports. In coherence with this decision, the 400 million euros France annually affects to food security in countries of the Global South should entirely go to the development of peasant agroecology. Our organisations expect this to be recorded and implemented during the review of the French strategy and the French development agency’s sectorial framework, scheduled to take place in the coming months.

Contacts:

Action Against Hunger: Mathieu FORTOUL – mfortoul@actioncontrelafaim.org – +33 (0)6 77 19 03 68

CCFD-Terre Solidaire: Karine Appy – k.appy@ccfd-terresolidaire.org – +33 (0)6 66 12 33 02

Oxfam France: Bertrand Noiret – bnoiret@oxfamfrance.org – +33 (0)6 85 26 01 08

Notes:

  1. The NAFSN in Africa, a threat to food security, march 2015 (in French)
  2. Burkina Faso, Ivory Coast, Ethiopia, Ghana, Mozambique, Tanzania, Benin, Malawi, Nigeria, Senegal
  3. See the rapport « Hunger, just another business – How the G8’s New Alliance is threatening food security in Africa  » , The 2015 interim review published in French before G7 Schloss Elmau summit in 2015, The 2016 interim review and listen to the French podcast of Interception (France Inter) NAFSN, the business of hunger
  4. According the report The state of food security and nutrition in the world published by the UNFAO last September, 815 million people suffered from hunger in 2016, or 38 million more than the previous years.

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Projet ABCD2

Projet ABCD-Un élève un arbre COP28

1. Titre du projet

Accompagnement de la mise à l’échelle des expériences développées par les communautés et des dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques en réponse au problème du changement climatique en Afrique subsaharienne (dit projet ABCD 2)

2. Resumé

Le projet de mise à l’échelle des expériences communautaires et dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques face au changement climatique en Afrique subsaharienne est la continuation d’un premier projet de capitalisation desdites expériences.

En effet, en 2022, sur financement de l’Agence Basque de Coopération au Développement (ABCD), Inades-Formation a mené le projet « Etude-capitalisation des bonnes pratiques face aux défis du changement climatique et gouvernance locale en Afrique subsaharienne », qui a permis de capitaliser 50 expériences dont 31 expériences d’adaptation au changement climatique et 19 expériences de gouvernance dans 11 pays en Afrique sub-saharienne.

Sur la base des acquis de ce projet pilote, quelques réalités vivantes sur les efforts des communautés en matière de lutte contre les problèmes posés par le changement climatique en Afrique ont pu être décelées et capitalisées. Elles ont été développées par une diversité d’acteurs dont des services publics spécialisés sur la gestion de l’environnement et du changement climatique, les organisations de la société civile et les organisations paysannes.

Dans le cadre de cette deuxième phase du projet dont la durée est de 30 mois (2022-2024), l’idée est de (i) mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique et de (ii) soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés.

Projet ACF-AO

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1. Titre du projet

Projet action climatique féministe – Afrique de l’ouest ACF-AO

2. Resumé

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est mis en œuvre en Côte d’Ivoire pour contribuer efficacement à la résilience et à lutte contre les effets du changement climatique par les communautés côtières et insulaires écologiquement sensibles avec un accent particulier sur les femmes rurales et le jeunes. 

Il renforcera les capacités des communautés, des femmes et des jeunes en particulier, pour la mise en œuvre de stratégies de protection de la biodiversité et d’écosystèmes notamment par l’adoption de pratiques agroécologiques, la diversification énergétique et des plaidoyers. Il permettra de renforcer la participation des femmes rurales et des jeunes à la gouvernance locale de la biodiversité et l’action climatique.

Financé par Affaires mondiales Canada | Global Affairs Canada, le projet ACF AO se déroule en Côte d’Ivoire, en Guinée-Bissau, au Sénégal et au Togo.

Il est piloté en Côte d’Ivoire par SUCO et Inades-Formation – Secrétariat Général.

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