Inades-Formation forme les Bureaux Nationaux à l’élaboration de stratégies climat et accès au fond climatique

atelierinterBN Climat1

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Le vendredi 29 septembre 2023, les rideaux se sont fermés sur l’atelier Inter-BN sur les outils d’analyse des risques et vulnérabilités climatiques, d’élaboration de plans et stratégie climat et d’accès aux fonds climatiques. Cet atelier organisé par le secrétariat général d’Inades-Formation à Abidjan a duré 5 jours.

L’atelier Inter-BN sur les outils d’analyse des risques et vulnérabilités climatiques, d’élaboration de plans et stratégie climat et d’accès aux fonds climatiques s’est tenu du 25 au 29 septembre 2023 à Abidjan. Il a été organisé dans le cadre du « Projet d’appui au développement des systèmes alimentaires territorialisés et durables basés sur les vivres de souveraineté et la résilience climatique dans les pays au sud du Sahara 2023-2025 », mis en œuvre par Inades-Formation et financé par Misereor.

L’objectif de l’atelier était de permettre aux équipes des Bureaux Nationaux d’Inades-Formation d’approfondir leurs connaissances et leurs capacités sur les approches d’analyse des vulnérabilités des communautés et des risques climatiques et sur les modalités d’accès aux fonds climat.  Toute chose dont elles auront besoin pour améliorer leurs stratégies d’intervention et dans leur recherche de financement afin de répondre de manière adéquates à ces risques climatiques.

L’atelier a réuni une vingtaine de participants, composés des Directeurs et chargés de projet ou programme de huit Bureaux Nationaux d’Inades-Formation travaillant sur des actions de sensibilisation et d’accompagnement des communautés locales sur le changement climatique. Il s’agit notamment du Burkina Faso, Burundi, Côte d’Ivoire, Cameroun, Congo RD, Rwanda, Tchad et Togo ainsi que des membres du SG Inades-Formation et un consultant du GIEC.

Pour marquer l’importance de cet atelier, le Secrétaire Général d’Inades-Formation, M. Sena ADESSOU, a, dans son discours d’ouverture, insisté sur le fait qu’Inades Formation ne doit pas rester inactif face aux changements climatiques. Bien qu’ayant un programme dédié à cette thématique, le constat est que nous n’avons pas suffisamment travaillé sur ce programme. C’est donc une insuffisance qu’il faut combler, d’où le projet monté avec Misereor. La thématique du changement climatique est une préoccupation internationale, rappelle-t-il. Il y a une prise de conscience des chefs d’Etats dans le monde entier et des chefs d’Etats africains. S’en veut pour preuve la récente conférence sur le changement climatique tenue à Nairobi au Kenya, qui s’est soldé par une déclaration. Déclaration qu’il invite d’ailleurs les participants à questionner pour en tirer les positionnement et axes sur lesquels agir. M. Adessou a également enjoint les participants de suivre attentivement cette formation somme toute très importante.

Des différentes présentations, il ressort que le changement climatique peut être défini comme toute modification du climat qui s’observe sur une période de 30 ans.  La Convention cadre des Nations Unies sur le Changement Climatique, en son article 1er défini le changement climatique comme des « changements de climat qui sont attribués directement ou indirectement à une activité humaine altérant la composition de l’atmosphère mondiale et qui viennent s’ajouter à la variabilité naturelle du climat observée au cours de périodes comparables ».

Dans sa présentation préliminaire, M. Adessou a mis l’accent sur le fait que les modifications climatiques s’observent sur des périodes de plus en courtes.

 Avant d’entamer les séries de présentations et formation, les participants ont été amené à réaliser un diagnostic des capacités du réseau Inades-Formation dans le domaine du changement climatique afin d’identifier les actions à mener pour le rendre plus performant.

A la fin des cinq jours de l’atelier, ils s’étaient approprié les différents outils et approches d’analyse des risques et vulnérabilité climatiques, notamment l’outil Cristal, Outil CVCA et l’outil Pamoja ; la méthodologie d’élaboration d’un plan local de mesures d’adaptation au changement climatique. Concernant les fonds climats, ils en savent désormais plus sur les différents fonds climatiques et leurs mécanismes de financement du climat. Ils ont défini un processus d’élaboration d’une stratégie climat pour Inades-Formation et se sont accordés sur des propositions de thèmes des différents modules de formation qui seront élaborés après l’atelier.

De l’avis des participants, l’atelier a été très intéressant.

Pour le Directeur d’Inades-Formation Burkina, « l’atelier a été vraiment édifiant ». « J’ai beaucoup appris sur les changements climatiques, notamment les confusions qu’on a souvent sur les différentes notions et les concepts. Nous avons aussi au cours de cet atelier découverts les différents fonds qui existent dans le domaine du changement climatique et comment nous pouvons nous organiser pour pouvoir capter ces fonds en vue de répondre aux préoccupations qui sont celles des populations que nous accompagnons, notamment le fond pour l’environnement mondial, le fonds climat dont l’accessibilité est un peu difficile. Mais les présentations nous ont montré quels sont les mécanismes à enclencher dans nos différents pays, par le biais des points focaux pour pouvoir soumettre nos idées de projet. »

Le Directeur d’Inades-Formation Burundi a également abondé dans le même sens en ces termes : « C’est un atelier très intéressant qui traite d’un sujet qui est à la une et d’intérêt mondial. On a vu différents mécanismes par lesquels passer pour avoir accès aux fonds climat. Inades-Formation qui est une organisation qui fait de la prospection doit toujours anticiper sur les questions qui préoccupent l’humanité.»

Quand au Directeur d’Inades-Formation Tanzanie, lui s’interroge sur la faible participation africaine à ces fonds climat. « Au cours de l’atelier sur l’analyse des risques climatiques et de la vulnérabilité, nous avons mené un exercice de cartographie des donateurs. Si l’on regarde la liste de plus de 40 donateurs, très peu ont leur origine en Afrique.»

Pourtant l’Afrique n’est pas épargnée par le changement climatique. Le continent partage avec d’autres pays en développement « une vulnérabilité particulière vis-à-vis du changement climatique en raison des réalités agroécologiques, de la pauvreté et de sa grande dépendance à l’égard des secteurs sensibles au climat comme celui de l’agriculture »1.

Un rapport de la Banque Mondiale²    indique que d’ici 2050, approximativement 2,8% de la population des pays en développement (dont l’Afrique subsaharienne) pourraient être contraintes de se déplacer pour échapper aux effets du changement climatique.

1. [ Nicholas Stern 2007, The Stern Review on the Economics of Climate Change was released for the British government by Nicholas Stern, Chair of the Grantham Research Institute on Climate Change and the Environment at the London School of Economics (LSE).]

2. [Htpps://openknowledge.worldbank.org/handle/10986/29461]

Communication Inades-Formation, Secretariat Général

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Projet ABCD2

Projet ABCD-Un élève un arbre COP28

1. Titre du projet

Accompagnement de la mise à l’échelle des expériences développées par les communautés et des dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques en réponse au problème du changement climatique en Afrique subsaharienne (dit projet ABCD 2)

2. Resumé

Le projet de mise à l’échelle des expériences communautaires et dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques face au changement climatique en Afrique subsaharienne est la continuation d’un premier projet de capitalisation desdites expériences.

En effet, en 2022, sur financement de l’Agence Basque de Coopération au Développement (ABCD), Inades-Formation a mené le projet « Etude-capitalisation des bonnes pratiques face aux défis du changement climatique et gouvernance locale en Afrique subsaharienne », qui a permis de capitaliser 50 expériences dont 31 expériences d’adaptation au changement climatique et 19 expériences de gouvernance dans 11 pays en Afrique sub-saharienne.

Sur la base des acquis de ce projet pilote, quelques réalités vivantes sur les efforts des communautés en matière de lutte contre les problèmes posés par le changement climatique en Afrique ont pu être décelées et capitalisées. Elles ont été développées par une diversité d’acteurs dont des services publics spécialisés sur la gestion de l’environnement et du changement climatique, les organisations de la société civile et les organisations paysannes.

Dans le cadre de cette deuxième phase du projet dont la durée est de 30 mois (2022-2024), l’idée est de (i) mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique et de (ii) soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés.

3. Objectif général

Contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, à travers la promotion à grande échelle des expériences locales et des mesures politiques concertées relatives aux mécanismes d’adaptation, d’atténuation et de résilience des populations vulnérables, surtout les populations rurales en Afrique subsaharienne.

4. Objectifs spécifiques

  • Mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique
  • Soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés

5. Période de réalisation : Juin 2022 à novembre 2024

6. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Le projet est réalisé dans 11 pays : Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d’Ivoire, Kenya, RD Congo, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Tchad et Togo.

7. Partenaire financier

Agence Basque de Coopération et de Développement (ABCD)

9. Partenaires de mise en oeuvre

17 organisations de développement local, porteuses de projets qui dupliqueront dans les bonnes expériences capitalisées dans la phase 1 du projet. Elles ont été sélectionnées sur la base des critères d’évaluation d’efficacité, efficience, pertinence, durabilité et équité basée sur le genre, suite à un appel à projet lancé par Inades-Formation.

Liste des organisations et leurs projets

Pays

Organisation

Titre du projet

1

Burkina Faso

UGF-CDN

Renforcement de la résilience des femmes au changement climatique par la promotion des pratiques agroécologiques. Cas de la ferme agroécologique des femmes de l’Union des Groupements Féminins Ce Dwane Nyee (UGF/CDN), province du Sanguie Région du Centre Ouest Burkina Faso

2

Burkina Faso

Inades-Formation Burkina

Renforcement de l’écocitoyenneté par l’éducation environnementale des élèves de la commune de Arbollé dans la région du nord du Burkina Faso

3

Burundi

Inades-Formation Burundi

Promotion de l’éducation environnementale en milieu scolaire pour faire face au changement climatique

4

Cameroun

FAP NGO CAMEROON

Promotion of Community Initiatives to Protect Common Interest Resources in Cameroon

5

Côte d’Ivoire

CDD-CI

Un élève, un arbre pour lutter contre l’érosion côtière et la disparition des mangroves

6

RD Congo

UWAKI Nord-Kivu

Projet d’appui à la valorisation des semences paysannes dans les unions de Luofu, Kipese et Lubero en territoire de Lubero au Nord-Kivu / RDC. Inspiré de l’expérience de l’Union des groupements Naam de Koumbri au Burkina Faso

7

RD Congo

ACOSYF

L’éducation environnementale à la base pour répondre aux problèmes du changement climatique dans la Chefferie de Kaziba en RD Congo

8

Kenya

Inades-Formation Kenya

The scaling up of experiences developed by communities and the dynamics of school-based re-afforestation initiatives to address climate change in Kenya

9

Rwanda

RECOR Rwanda

Affordable solar pumps for small-scale irrigation, a revolutionary technology to help farmers increase their resilience capacity to climate change issues in Rwanda

10

Rwanda

Inades-Formation Rwanda

Démultiplication de la pratique de greffage des arbres fruitiers pour l’augmentation de la résilience au changement climatique des agriculteurs du district Bugesera

11

Sénégal

7A MAA REWEE

Projet de promotion de la conservation de l’agro-biodiversité par le renforcement des capacités et la documentation des variétés de semences locales au Sénégal

12

Tanzanie

Inades-Formation Tanzanie

Promotion of community seed banks for the conservation of agro-biodiversity through capacity building and documentation of local seed varieties in Kondoa and Chemba Districts of Dodoma Region, Tanzania”

13

Tchad

Inades-Formation Tchad

Promotion de banques de semences, Démultiplier l’Expériences de Seeds Savers Network /Kenya

14

Tchad

ATASANPE Tchad

Démultiplier le projet « Un élève, un arbre » développé par ACOSYF RD Congo

15

Togo

APAD International Togo

La gouvernance des espaces protégés : Cas des flancs de montagne à Agou au Togo

16

Togo

Inades-Formation Togo

Systèmes d’exploitation familiale intégrée continue et compétitive pour une résilience paysanne face au changement climatique dans la commune de Tchamba 2

17

Togo

JVE Togo

Gouvernance des systèmes semenciers locaux auprès des coopératives de femmes de la forêt classée d’Assimé pour la résilience climatique

Projet ACF-AO

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1. Titre du projet

Projet action climatique féministe – Afrique de l’ouest ACF-AO

2. Resumé

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est mis en œuvre en Côte d’Ivoire pour contribuer efficacement à la résilience et à lutte contre les effets du changement climatique par les communautés côtières et insulaires écologiquement sensibles avec un accent particulier sur les femmes rurales et le jeunes. 

Il renforcera les capacités des communautés, des femmes et des jeunes en particulier, pour la mise en œuvre de stratégies de protection de la biodiversité et d’écosystèmes notamment par l’adoption de pratiques agroécologiques, la diversification énergétique et des plaidoyers. Il permettra de renforcer la participation des femmes rurales et des jeunes à la gouvernance locale de la biodiversité et l’action climatique.

Financé par Affaires mondiales Canada | Global Affairs Canada, le projet ACF AO se déroule en Côte d’Ivoire, en Guinée-Bissau, au Sénégal et au Togo.

Il est piloté en Côte d’Ivoire par SUCO et Inades-Formation – Secrétariat Général.

3. Contexte

Les changements climatiques menacent de faire basculer près d’un million d’ivoiriens supplémentaires dans l’extrême pauvreté, d’augmenter le risque de stress hydrique, avec de plus en plus de régions qui devraient voir plus de 10 % de leur population en pénurie d’eau, et d’augmenter la recrudescence des maladies associées à l’air et à l’eau parmi les populations sensibles (Contributions Déterminées au niveau National, CDN-COTE D’IVOIRE, mars 2022). Selon la Banque Mondiale, d’ici 2050, la Côte d’Ivoire sera confrontée à une augmentation de la température de deux degrés Celsius en moyenne, à une plus grande variabilité pluviométrique et une élévation du niveau de la mer de 30 cm le long du littoral (Banque Mondiale, 2018a).

Ces changements climatiques affectent tous les secteurs de développement. Cependant, les différences entre les hommes et les femmes dans leurs rapports avec leur environnement, les différences dans la composition des secteurs économiques et l’accès inégal aux ressources et aux prises de décision amplifieront les impacts des changements climatiques sur certaines catégories de population dont les femmes.

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est donc une réponse à cette réalité.

4. Objectif général

Renforcer l’adaptation aux changements climatiques des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans les régions côtières et insulaires écologiquement sensibles en Côte d’Ivoire.

5. Objectifs spécifiques

  • Accroitre l’influence des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans le plaidoyer politique sur le climat et dans la gouvernance des écosystèmes à forte biodiversité et vulnérables aux changements climatiques.
  • Accroitre l’adoption de solutions basées sur la nature telles que l’agroécologie, la protection et la restauration des écosystèmes et de la biodiversité, pour l’adaptation aux changements climatiques, par les femmes rurales et autochtones et les jeunes.
  • Renforcer la résilience climatique des femmes rurales et autochtones et des jeunes par l’autonomisation économique et la diversification énergétique.

6. Période de réalisation : 2023 - 2026

7. Public cible / bénéficiares: Jeunes 41 % & Femmes rurales et autochtones 59 %

8. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Adiaké, Grand-Bassam, Jacqueville et Grand-Lahou.

9. Actions du projets

·       Diagnostic les obstacles et facteurs facilitant la participation active des groupes cibles dans les instances de décision de la gestion de biodiversité et du climat ;

·       Diagnostics participatifs réalisés par les instances locales sur la vulnérabilité climatique des écosystèmes et identification de mesures et stratégies d’adaptation sensibles au genre ;

·       Formations des femmes rurales et autochtones et les jeunes pour renforcer et maintenir leur participation dans les instances de décision ;

·       Formations des bénéficiaires sur les politiques climatiques et de conservation de la biodiversité ;

·       Formations des communautés participantes en développement des affaires, chaines de valeurs inclusives, gestion de coopérative, et mise en marché direct réalisées

·       Ateliers villageois de sensibilisation et de formation sur les mesures d’atténuation et d’adaptation favorisant la biodiversité et sensibles au genre réalisés dans les communautés participantes.

·       Plans de gestion et d’aménagement des écosystèmes conçus et mis en œuvre dans les communautés participantes.

·       Appui technique et financier aux communautés participantes pour la réalisation de pratiques agro écologiques résilientes au climat (micro-élevage, agroforesterie, maraichage, apiculture et ostréiculture) ; pour renforcer l’accès à l’eau productive, aux intrants et équipements agricoles ; pour l’installation de pépinières et reboisement des écosystèmes côtiers

·       Équipements solaires et éco énergétiques pour la production, la transformation et la conservation des aliments et formations sur l’utilisation et l’entretien des équipements

·       Mise en réseau des femmes et jeunes et plaidoyer

 

·       Appuis et renforcement des systèmes d’épargne et de crédit fournis aux groupements de femmes.

10. Partenaires techniques et financiers

Projet financé par Affaire Mondiale Canada et mis en œuvre par INTERPARES, SUCO et leurs partenaires dont Inades-Formation – Secrétariat Général pour la Cote d’Ivoire.

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