Caravane et tournoi Conscience AlimenTERRE

BANDEROLE-CARAVANE-CCAT

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Contexte et justification

Le programme de développement durable à l’horizon 2030 (ODD) préconise des actions audacieuses et transformatrices, dont on a besoin de toute urgence pour remettre le monde sur la voie de la durabilité et de la résilience tout en cherchant à réaliser les droits de l’homme de tous les peuples[1].

L’Agriculture et les systèmes alimentaires sont interconnectés avec les économies, les cultures, les sociétés, la santé, la sécurité alimentaire, la malnutrition, le climat, la biodiversité et l’environnement. Selon le Rapport 2017 de l’ONU sur le droit à l’alimentation, les pesticides sont, d’après les estimations, à l’origine de 200 000 décès par intoxication aiguë chaque année au total2, dont 99 % surviennent dans les pays en développement3, où les réglementations dans le domaine de la santé, de la sécurité et de l’environnement sont plus souples et appliquées moins rigoureusement. Si les informations relatives à l’usage des pesticides au niveau mondial sont incomplètes, il est généralement admis que les doses d’utilisation ont considérablement augmenté au cours des dernières décennies.

Ainsi, les différents gouvernants sont face aux défis de nourrir une population sans cesse croissante et éradiquer la pauvreté dans un contexte d’une disponibilité de plus en plus limitée en ressources productives. Ainsi, produire sans détruire pour une alimentation saine et durable revêt un enjeu capital.

Pour y parvenir, chacun des différents acteurs à savoir les agriculteurs, consommateurs et acteurs de la société civile en général, chercheurs, autorités administratives et décideurs ont un rôle à jouer. Pour cela, il est important d’organiser une campagne de sensibilisation du grand public pour espérer des changements en matière de pratiques et comportements citoyens.

En effet, en vue de contribuer à la concrétisation du droit à l’alimentation saine et durable dans les pays africains, Inades-Formation a entrepris depuis 2021 une campagne baptisée « Campagne Conscience AlimenTERRE ». Cette campagne est motivée par le constat que les systèmes agricoles actuels sont de plus en plus dominés par l’utilisation excessive des pesticides chimiques de synthèse pour la protection des plantes et récoltes.  Différentes études font état de pesticides chimiques très toxiques, non homologués, perimés dont la circulation échappe au contrôle des services de contrôle. La présente campagne s’appuie sur l’argumentaire suivant : « La toxicité des pesticides chimiques de synthèse pour les humains et pour l’environnement, constitue une entrave au droit à une alimentation saine et durable pour tous ».

Une étude menée en 2022 par Inades-Formation au Burkina Faso, au Togo et en Côte d’Ivoire montre qu’il y a des défis importants à relever en matière de gestion des pesticides de pesticides chimiques de synthèse, de pratiques et produits respectueux de l’environnement et de la santé des agriculteurs, travailleurs agricoles et consommateurs

Les analyses des sols, d’eaux et de récoltes de produits maraîchers montre la présence en abondance de 5 à 7 résidus de pesticides différents dans un même échantillon. Cela questionne la sécurité sanitaire des aliments.  En plus de cela, il y a des cas de dépassements des limites maximales de résidus tolérables et des critères de vie aquatique. Cette situation contraste avec la déclaration universelle des droits de l’homme dans son article art. 25, qui stipule la nécessité du droit aux aliments sans danger   et du pacte international sur les droits économiques, sociaux et culturels (art.11).

La veille aux bonnes pratiques et comportements en faveur des systèmes alimentaires respectueux à la fois de la santé et de l’environnement demande de s’inscrire dans une dynamique de produire sans détruire. C’est un devoir citoyen.

Ainsi, la « Campagne Conscience AlimenTERRE » consiste en la sensibilisation du public sur les risques de pesticides chimiques de synthèse en vue d’un vaste mouvement social actif pour le changement de pratiques et comportements respectueux de la santé et de l’environnement, condition pour produire sans détruire et contribuer au droit à une alimentation saine et durable. Elle plaide également pour le renforcement des mécanismes de réglementation plus rigoureuse du secteur des pesticides chimiques de synthèse, l’adoption des mesures pour la réduction de leur utilisation au profit des solutions agroécologiques.

Différents canaux et types d’activités sont prévus. Pour l’année 2023, un événement sportif et la caravane sont parmi les moyens choisis la sensibilisation et la conscientisation du grand nombre sur l’importance de produire sans détruire à travers des pratiques et produits respectueux de la santé humaine et de l’environnement. Ainsi, la ville de Bouaké est l’une de celles choisies pour le compte de 2023.

Objectifs de l’événement

L’événement prévu permettra de :

  • Faire passer le message pour conscientiser le public sur les risques de l’utilisation des pesticides chimiques de synthèse dans l’agriculture sur la biodiversité et la santé;
  • Sensibiliser le public sur la responsabilité des agriculteurs et consommateurs à adopter des comportements et pratiques qui favorisent le droit à l’alimentation saine et le respect de l’environnement « produire sans détruire »;

 

Organisation de l’événement

La communication passera par l’organisation d’un tournoi de quatre (04) équipes de Maracana à Bouaké en collaboration avec la fédération de la place. Pour les contacts relatifs aux choix des équipes, du stade pour abriter les matchs, des contacts administratifs, en plus d’une visite préparatoire, Inades-Formation mettra à contribution le point focal régional PANAFCI, le CRD et le LAFJO à l’Université Alassane Ouattara de Bouake.

Des personnalités d’honneur seront également contactées notamment le Maire de la commune de Bouaké, le Directeur régional du MEMINADER, MINEDD, de l’Education nationale, du CNRA, de l’ANADER, le Président de la Jeunesse Communale de Bouaké, le Président des Coopératives du vivrier du Gbêkê…

Les médias à l’instar de la RTI Bouake et des radios locales sont mis à contribution pour les annonces et le reportage de l’événement.

Les activités sportives seront précédées d’une caravane de sensibilisation dans la ville de Bouaké.

Outre le recours au messager, différents moyens seront utilisés : banderoles, spots radios, flyers, roll up, jeunes rollers en lien avec le droit à l’alimentation saine, l’attention aux pesticides chimiques de synthèse et la nécessite de produire sans détruire. Les messages feront également un appel au rôle de la jeunesse pour influencer le contrôle sanitaire des aliments et les systèmes alimentaires respectueux de la santé et de l’environnement en général.

Lieu, dates et participants

L’événement aura lieu à Bouaké, chef-lieu de la Région du Gbêkê du 27 au 28 octobre 2023. Outre les catégories ci-haut mentionnées, seront invités des membres de la PANAFCI, les étudiants de l’Université Alassane Ouattara, les autorités et personnalités, les sympathisants habituels du championnat Maracana à Bouake.

 

[1] Résolution 70/1 de l’Assemblée générale des Nations Unies 2015 : Transformer le monde, Agenda 2030 pour le développement durable

Communication Inades-Formation – Secrétariat Général

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Emplois

INADES-Formation Secrétariat Général recherche un(e) Comptable

Présentation d’INADES-Formation L’Institut africain pour le développement économique et social-Centre Africain de Formation (INADES-Formation), est une Association internationale de droit ivoirien, créée depuis 1975 et reconnue

Projet ABCD2

Projet ABCD-Un élève un arbre COP28

1. Titre du projet

Accompagnement de la mise à l’échelle des expériences développées par les communautés et des dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques en réponse au problème du changement climatique en Afrique subsaharienne (dit projet ABCD 2)

2. Resumé

Le projet de mise à l’échelle des expériences communautaires et dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques face au changement climatique en Afrique subsaharienne est la continuation d’un premier projet de capitalisation desdites expériences.

En effet, en 2022, sur financement de l’Agence Basque de Coopération au Développement (ABCD), Inades-Formation a mené le projet « Etude-capitalisation des bonnes pratiques face aux défis du changement climatique et gouvernance locale en Afrique subsaharienne », qui a permis de capitaliser 50 expériences dont 31 expériences d’adaptation au changement climatique et 19 expériences de gouvernance dans 11 pays en Afrique sub-saharienne.

Sur la base des acquis de ce projet pilote, quelques réalités vivantes sur les efforts des communautés en matière de lutte contre les problèmes posés par le changement climatique en Afrique ont pu être décelées et capitalisées. Elles ont été développées par une diversité d’acteurs dont des services publics spécialisés sur la gestion de l’environnement et du changement climatique, les organisations de la société civile et les organisations paysannes.

Dans le cadre de cette deuxième phase du projet dont la durée est de 30 mois (2022-2024), l’idée est de (i) mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique et de (ii) soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés.

3. Objectif général

Contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, à travers la promotion à grande échelle des expériences locales et des mesures politiques concertées relatives aux mécanismes d’adaptation, d’atténuation et de résilience des populations vulnérables, surtout les populations rurales en Afrique subsaharienne.

4. Objectifs spécifiques

  • Mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique
  • Soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés

5. Période de réalisation : Juin 2022 à novembre 2024

6. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Le projet est réalisé dans 11 pays : Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d’Ivoire, Kenya, RD Congo, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Tchad et Togo.

7. Partenaire financier

Agence Basque de Coopération et de Développement (ABCD)

9. Partenaires de mise en oeuvre

17 organisations de développement local, porteuses de projets qui dupliqueront dans les bonnes expériences capitalisées dans la phase 1 du projet. Elles ont été sélectionnées sur la base des critères d’évaluation d’efficacité, efficience, pertinence, durabilité et équité basée sur le genre, suite à un appel à projet lancé par Inades-Formation.

Liste des organisations et leurs projets

Pays

Organisation

Titre du projet

1

Burkina Faso

UGF-CDN

Renforcement de la résilience des femmes au changement climatique par la promotion des pratiques agroécologiques. Cas de la ferme agroécologique des femmes de l’Union des Groupements Féminins Ce Dwane Nyee (UGF/CDN), province du Sanguie Région du Centre Ouest Burkina Faso

2

Burkina Faso

Inades-Formation Burkina

Renforcement de l’écocitoyenneté par l’éducation environnementale des élèves de la commune de Arbollé dans la région du nord du Burkina Faso

3

Burundi

Inades-Formation Burundi

Promotion de l’éducation environnementale en milieu scolaire pour faire face au changement climatique

4

Cameroun

FAP NGO CAMEROON

Promotion of Community Initiatives to Protect Common Interest Resources in Cameroon

5

Côte d’Ivoire

CDD-CI

Un élève, un arbre pour lutter contre l’érosion côtière et la disparition des mangroves

6

RD Congo

UWAKI Nord-Kivu

Projet d’appui à la valorisation des semences paysannes dans les unions de Luofu, Kipese et Lubero en territoire de Lubero au Nord-Kivu / RDC. Inspiré de l’expérience de l’Union des groupements Naam de Koumbri au Burkina Faso

7

RD Congo

ACOSYF

L’éducation environnementale à la base pour répondre aux problèmes du changement climatique dans la Chefferie de Kaziba en RD Congo

8

Kenya

Inades-Formation Kenya

The scaling up of experiences developed by communities and the dynamics of school-based re-afforestation initiatives to address climate change in Kenya

9

Rwanda

RECOR Rwanda

Affordable solar pumps for small-scale irrigation, a revolutionary technology to help farmers increase their resilience capacity to climate change issues in Rwanda

10

Rwanda

Inades-Formation Rwanda

Démultiplication de la pratique de greffage des arbres fruitiers pour l’augmentation de la résilience au changement climatique des agriculteurs du district Bugesera

11

Sénégal

7A MAA REWEE

Projet de promotion de la conservation de l’agro-biodiversité par le renforcement des capacités et la documentation des variétés de semences locales au Sénégal

12

Tanzanie

Inades-Formation Tanzanie

Promotion of community seed banks for the conservation of agro-biodiversity through capacity building and documentation of local seed varieties in Kondoa and Chemba Districts of Dodoma Region, Tanzania”

13

Tchad

Inades-Formation Tchad

Promotion de banques de semences, Démultiplier l’Expériences de Seeds Savers Network /Kenya

14

Tchad

ATASANPE Tchad

Démultiplier le projet « Un élève, un arbre » développé par ACOSYF RD Congo

15

Togo

APAD International Togo

La gouvernance des espaces protégés : Cas des flancs de montagne à Agou au Togo

16

Togo

Inades-Formation Togo

Systèmes d’exploitation familiale intégrée continue et compétitive pour une résilience paysanne face au changement climatique dans la commune de Tchamba 2

17

Togo

JVE Togo

Gouvernance des systèmes semenciers locaux auprès des coopératives de femmes de la forêt classée d’Assimé pour la résilience climatique

Projet ACF-AO

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1. Titre du projet

Projet action climatique féministe – Afrique de l’ouest ACF-AO

2. Resumé

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est mis en œuvre en Côte d’Ivoire pour contribuer efficacement à la résilience et à lutte contre les effets du changement climatique par les communautés côtières et insulaires écologiquement sensibles avec un accent particulier sur les femmes rurales et le jeunes. 

Il renforcera les capacités des communautés, des femmes et des jeunes en particulier, pour la mise en œuvre de stratégies de protection de la biodiversité et d’écosystèmes notamment par l’adoption de pratiques agroécologiques, la diversification énergétique et des plaidoyers. Il permettra de renforcer la participation des femmes rurales et des jeunes à la gouvernance locale de la biodiversité et l’action climatique.

Financé par Affaires mondiales Canada | Global Affairs Canada, le projet ACF AO se déroule en Côte d’Ivoire, en Guinée-Bissau, au Sénégal et au Togo.

Il est piloté en Côte d’Ivoire par SUCO et Inades-Formation – Secrétariat Général.

3. Contexte

Les changements climatiques menacent de faire basculer près d’un million d’ivoiriens supplémentaires dans l’extrême pauvreté, d’augmenter le risque de stress hydrique, avec de plus en plus de régions qui devraient voir plus de 10 % de leur population en pénurie d’eau, et d’augmenter la recrudescence des maladies associées à l’air et à l’eau parmi les populations sensibles (Contributions Déterminées au niveau National, CDN-COTE D’IVOIRE, mars 2022). Selon la Banque Mondiale, d’ici 2050, la Côte d’Ivoire sera confrontée à une augmentation de la température de deux degrés Celsius en moyenne, à une plus grande variabilité pluviométrique et une élévation du niveau de la mer de 30 cm le long du littoral (Banque Mondiale, 2018a).

Ces changements climatiques affectent tous les secteurs de développement. Cependant, les différences entre les hommes et les femmes dans leurs rapports avec leur environnement, les différences dans la composition des secteurs économiques et l’accès inégal aux ressources et aux prises de décision amplifieront les impacts des changements climatiques sur certaines catégories de population dont les femmes.

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est donc une réponse à cette réalité.

4. Objectif général

Renforcer l’adaptation aux changements climatiques des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans les régions côtières et insulaires écologiquement sensibles en Côte d’Ivoire.

5. Objectifs spécifiques

  • Accroitre l’influence des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans le plaidoyer politique sur le climat et dans la gouvernance des écosystèmes à forte biodiversité et vulnérables aux changements climatiques.
  • Accroitre l’adoption de solutions basées sur la nature telles que l’agroécologie, la protection et la restauration des écosystèmes et de la biodiversité, pour l’adaptation aux changements climatiques, par les femmes rurales et autochtones et les jeunes.
  • Renforcer la résilience climatique des femmes rurales et autochtones et des jeunes par l’autonomisation économique et la diversification énergétique.

6. Période de réalisation : 2023 - 2026

7. Public cible / bénéficiares: Jeunes 41 % & Femmes rurales et autochtones 59 %

8. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Adiaké, Grand-Bassam, Jacqueville et Grand-Lahou.

9. Actions du projets

·       Diagnostic les obstacles et facteurs facilitant la participation active des groupes cibles dans les instances de décision de la gestion de biodiversité et du climat ;

·       Diagnostics participatifs réalisés par les instances locales sur la vulnérabilité climatique des écosystèmes et identification de mesures et stratégies d’adaptation sensibles au genre ;

·       Formations des femmes rurales et autochtones et les jeunes pour renforcer et maintenir leur participation dans les instances de décision ;

·       Formations des bénéficiaires sur les politiques climatiques et de conservation de la biodiversité ;

·       Formations des communautés participantes en développement des affaires, chaines de valeurs inclusives, gestion de coopérative, et mise en marché direct réalisées

·       Ateliers villageois de sensibilisation et de formation sur les mesures d’atténuation et d’adaptation favorisant la biodiversité et sensibles au genre réalisés dans les communautés participantes.

·       Plans de gestion et d’aménagement des écosystèmes conçus et mis en œuvre dans les communautés participantes.

·       Appui technique et financier aux communautés participantes pour la réalisation de pratiques agro écologiques résilientes au climat (micro-élevage, agroforesterie, maraichage, apiculture et ostréiculture) ; pour renforcer l’accès à l’eau productive, aux intrants et équipements agricoles ; pour l’installation de pépinières et reboisement des écosystèmes côtiers

·       Équipements solaires et éco énergétiques pour la production, la transformation et la conservation des aliments et formations sur l’utilisation et l’entretien des équipements

·       Mise en réseau des femmes et jeunes et plaidoyer

 

·       Appuis et renforcement des systèmes d’épargne et de crédit fournis aux groupements de femmes.

10. Partenaires techniques et financiers

Projet financé par Affaire Mondiale Canada et mis en œuvre par INTERPARES, SUCO et leurs partenaires dont Inades-Formation – Secrétariat Général pour la Cote d’Ivoire.

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