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Journée internationale de la Terre Nourricière 2022 – Communication d’Inades-Formation

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Adopter des politiques publiques et pratiques qui préservent et restaurent la qualité de la terre nourricière

  Chaque 22 avril, le monde entier célèbre la Journée internationale de la Terre Nourricière. En effet, l’Assemblée générale a désigné le 22 avril Journée internationale de la Terre nourricière par une résolution (A/RES/63/278) adoptée en 2009.  La terre est un patrimoine commun. Les ressources naturelles qu’elle héberge sont utiles pour l’humanité entière. Chacun a le devoir de les respecter. Les systèmes agricoles ont une part importante dans la préservation ou non de la qualité de la Terre. L’agriculture et les systèmes alimentaires sont interconnectés avec les économies, les cultures, les sociétés, la santé, la sécurité alimentaire, la malnutrition, le climat, la biodiversité et l’environnement. 

Actuellement, la promotion des pesticides et fertilisants chimiques de synthèse inquiètent autant les producteurs que les consommateurs. En effet, Inades-Formation fait remarquer que « La toxicité des pesticides et fertilisants chimiques de synthèse pour l’environnement et les humains, constitue une entrave au droit à l’alimentation saine et durable pour tous »

Aujourd’hui comme demain, Produire Sans Détruire revêt une importance capitale.

Pour ce faire, Inades-Formation s’est engagé à travailler à l’émergence des Territoires Produire Sans Détruire « TPSD ». Cela passe notamment par la promotion des systèmes alimentaires basés sur l’agriculture familiale comme moyen de promouvoir des pratiques respectueuses de l’environnement et de la santé. C’est dans ce cadre qu’Inades-Formation porte la Campagne Conscience AlimenTERRE.

Le mot « AlimenTERRE » est spécifiquement utilisé pour attirer l’attention sur le lien intrinsèque entre la qualité de la terre, qui dépend de comment elle aussi, est nourrie et entretenue, et la qualité de la nourriture qu’elle produit pour l’alimentation saine et durable des populations. Or, actuellement, l’intensification de l’usage des pesticides et fertilisants chimiques de synthèse constitue une menace à la qualité attendue d’une terre nourricière et celle de l’eau d’irrigation.

L’Alimentation est un droit et Manger, un vote

A travers, la Campagne Conscience AlimenTERRE, Inades-Formation cherche à amener les différents acteurs des systèmes alimentaires à prendre conscience des enjeux de la production durable de la nourriture et à agir pour une agriculture plus respectueuse de la Terre, de la biodiversité, de l’environnement dans son ensemble et de la santé des humains.

Par ailleurs, le programme de développement durable à l’horizon 2030 préconise des actions audacieuses et transformatrices, pour remettre le monde sur la voie de la durabilité et de la résilience tout en cherchant à réaliser les droits de l’homme de tous les peuples[1].

Cette édition 2022 de la Journée internationale de la Terre nourricière est la première de la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes. Ceux-ci soutiennent toute vie sur Terre. Plus nos écosystèmes sont sains, plus la planète et ses habitants sont en bonne santé. La restauration de nos écosystèmes endommagés contribuera à lutter contre le changement climatique et à prévenir une extinction massive des espèces [2].

La journée internationale de la Terre nourricière nous rappelle l’importance de s’assurer de faire le suivi de la mise en œuvre de certains engagements internationaux en matière de prévention de la pollution imputable aux pesticides chimiques de synthèse. C’est notamment :

  • la convention de Stockholm  relative aux polluants organiques persistants (POP),
  • la convention de Rotterdam[3] sur la procédure de consentement préalable en connaissance de cause applicable à certains produits chimiques et pesticides dangereux ;
  • la convention de Bamako[4] relative à l’interdiction d’importer en Afrique des déchets dangereux et sur le contrôle des mouvements transfrontaliers et la gestion des déchets dangereux produits en Afrique ;
  • le pacte international sur les droits économiques, sociaux et culturels (PIDESC) ;
  • la résolution A/RES/72/239 des nations Unies sur la décennie de l’agriculture familiale (2019-2028) ;

C’est également l’occasion de faire le tour d’horizon dans chaque pays, sur les cas de préjudices causés par l’utilisation intensive des intrants chimiques de synthèse sur la biodiversité que la terre héberge, sur leur structure elle-même, la pollution de l’eau et des organismes qui y vivent.

Inades-Formation comme d’autres acteurs estiment qu’il est important qu’en cette Journée internationale de la Terre nourricière nous insistions sur le passage à une économie plus durable, qui bénéficie à la fois à l’humanité et à la planète. Assurer une harmonie avec la nature et la Terre n’est plus uniquement souhaitable, mais très nécessaire.

Etant donné, le danger des pesticides chimiques sur les sols, les ressources en eaux et les ressources de la biodiversité, Inades-Formation plaide pour les mesures politiques audacieuses suivantes :

  • Réduire l’importation des pesticides chimiques de synthèse dans l’agriculture ;
  • Renforcer les mesures de réglementation en matière d’importation, commercialisation, conservation et utilisation des pesticides chimiques de synthèse ;
  • Adopter des politiques publiques qui prennent en compte les solutions basées sur l’agroécologie ;

A cet effet, Inades-Formation demande aux agriculteurs et aux travailleurs agricoles :

  • De questionner leurs pratiques agricoles par rapport à la préservation ou restauration des écosystèmes ;
  • De prendre conscience de leur rôle pour pérenniser les écosystèmes locaux pour qu’ils soient disponibles à leur descendance et aux générations futures d’une manière globale ;
  • De mieux s’organiser pour créer des espaces d’échanges d’expériences et d’apprentissage mutuels pour valoriser davantage leur savoir et savoir-faire en matière d’Agro-Ecologie;

A la société civile, les consommateurs en particulier, il leur est demandé de :

  • S’organiser pour conscientiser les différents acteurs sur leur rôle à la réalisation du droit à l’alimentation saine et durable ;
  • Créer et animer une dynamique citoyenne pour questionner constamment la traçabilité des produits sur le marché, particulièrement les produits maraichers ;
  • Observer et questionner la qualité et l’homologation des pesticides encore en utilisation ;

L’Alimentation est un droit et Manger, un vote

Votons pour ce qui protège l’environnement et la santé des humains.

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Projet ABCD2

Projet ABCD-Un élève un arbre COP28

1. Titre du projet

Accompagnement de la mise à l’échelle des expériences développées par les communautés et des dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques en réponse au problème du changement climatique en Afrique subsaharienne (dit projet ABCD 2)

2. Resumé

Le projet de mise à l’échelle des expériences communautaires et dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques face au changement climatique en Afrique subsaharienne est la continuation d’un premier projet de capitalisation desdites expériences.

En effet, en 2022, sur financement de l’Agence Basque de Coopération au Développement (ABCD), Inades-Formation a mené le projet « Etude-capitalisation des bonnes pratiques face aux défis du changement climatique et gouvernance locale en Afrique subsaharienne », qui a permis de capitaliser 50 expériences dont 31 expériences d’adaptation au changement climatique et 19 expériences de gouvernance dans 11 pays en Afrique sub-saharienne.

Sur la base des acquis de ce projet pilote, quelques réalités vivantes sur les efforts des communautés en matière de lutte contre les problèmes posés par le changement climatique en Afrique ont pu être décelées et capitalisées. Elles ont été développées par une diversité d’acteurs dont des services publics spécialisés sur la gestion de l’environnement et du changement climatique, les organisations de la société civile et les organisations paysannes.

Dans le cadre de cette deuxième phase du projet dont la durée est de 30 mois (2022-2024), l’idée est de (i) mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique et de (ii) soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés.

3. Objectif général

Contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, à travers la promotion à grande échelle des expériences locales et des mesures politiques concertées relatives aux mécanismes d’adaptation, d’atténuation et de résilience des populations vulnérables, surtout les populations rurales en Afrique subsaharienne.

4. Objectifs spécifiques

  • Mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique
  • Soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés

5. Période de réalisation : Juin 2022 à novembre 2024

6. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Le projet est réalisé dans 11 pays : Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d’Ivoire, Kenya, RD Congo, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Tchad et Togo.

7. Partenaire financier

Agence Basque de Coopération et de Développement (ABCD)

9. Partenaires de mise en oeuvre

17 organisations de développement local, porteuses de projets qui dupliqueront dans les bonnes expériences capitalisées dans la phase 1 du projet. Elles ont été sélectionnées sur la base des critères d’évaluation d’efficacité, efficience, pertinence, durabilité et équité basée sur le genre, suite à un appel à projet lancé par Inades-Formation.

Liste des organisations et leurs projets

Pays

Organisation

Titre du projet

1

Burkina Faso

UGF-CDN

Renforcement de la résilience des femmes au changement climatique par la promotion des pratiques agroécologiques. Cas de la ferme agroécologique des femmes de l’Union des Groupements Féminins Ce Dwane Nyee (UGF/CDN), province du Sanguie Région du Centre Ouest Burkina Faso

2

Burkina Faso

Inades-Formation Burkina

Renforcement de l’écocitoyenneté par l’éducation environnementale des élèves de la commune de Arbollé dans la région du nord du Burkina Faso

3

Burundi

Inades-Formation Burundi

Promotion de l’éducation environnementale en milieu scolaire pour faire face au changement climatique

4

Cameroun

FAP NGO CAMEROON

Promotion of Community Initiatives to Protect Common Interest Resources in Cameroon

5

Côte d’Ivoire

CDD-CI

Un élève, un arbre pour lutter contre l’érosion côtière et la disparition des mangroves

6

RD Congo

UWAKI Nord-Kivu

Projet d’appui à la valorisation des semences paysannes dans les unions de Luofu, Kipese et Lubero en territoire de Lubero au Nord-Kivu / RDC. Inspiré de l’expérience de l’Union des groupements Naam de Koumbri au Burkina Faso

7

RD Congo

ACOSYF

L’éducation environnementale à la base pour répondre aux problèmes du changement climatique dans la Chefferie de Kaziba en RD Congo

8

Kenya

Inades-Formation Kenya

The scaling up of experiences developed by communities and the dynamics of school-based re-afforestation initiatives to address climate change in Kenya

9

Rwanda

RECOR Rwanda

Affordable solar pumps for small-scale irrigation, a revolutionary technology to help farmers increase their resilience capacity to climate change issues in Rwanda

10

Rwanda

Inades-Formation Rwanda

Démultiplication de la pratique de greffage des arbres fruitiers pour l’augmentation de la résilience au changement climatique des agriculteurs du district Bugesera

11

Sénégal

7A MAA REWEE

Projet de promotion de la conservation de l’agro-biodiversité par le renforcement des capacités et la documentation des variétés de semences locales au Sénégal

12

Tanzanie

Inades-Formation Tanzanie

Promotion of community seed banks for the conservation of agro-biodiversity through capacity building and documentation of local seed varieties in Kondoa and Chemba Districts of Dodoma Region, Tanzania”

13

Tchad

Inades-Formation Tchad

Promotion de banques de semences, Démultiplier l’Expériences de Seeds Savers Network /Kenya

14

Tchad

ATASANPE Tchad

Démultiplier le projet « Un élève, un arbre » développé par ACOSYF RD Congo

15

Togo

APAD International Togo

La gouvernance des espaces protégés : Cas des flancs de montagne à Agou au Togo

16

Togo

Inades-Formation Togo

Systèmes d’exploitation familiale intégrée continue et compétitive pour une résilience paysanne face au changement climatique dans la commune de Tchamba 2

17

Togo

JVE Togo

Gouvernance des systèmes semenciers locaux auprès des coopératives de femmes de la forêt classée d’Assimé pour la résilience climatique

Projet ACF-AO

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1. Titre du projet

Projet action climatique féministe – Afrique de l’ouest ACF-AO

2. Resumé

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est mis en œuvre en Côte d’Ivoire pour contribuer efficacement à la résilience et à lutte contre les effets du changement climatique par les communautés côtières et insulaires écologiquement sensibles avec un accent particulier sur les femmes rurales et le jeunes. 

Il renforcera les capacités des communautés, des femmes et des jeunes en particulier, pour la mise en œuvre de stratégies de protection de la biodiversité et d’écosystèmes notamment par l’adoption de pratiques agroécologiques, la diversification énergétique et des plaidoyers. Il permettra de renforcer la participation des femmes rurales et des jeunes à la gouvernance locale de la biodiversité et l’action climatique.

Financé par Affaires mondiales Canada | Global Affairs Canada, le projet ACF AO se déroule en Côte d’Ivoire, en Guinée-Bissau, au Sénégal et au Togo.

Il est piloté en Côte d’Ivoire par SUCO et Inades-Formation – Secrétariat Général.

3. Contexte

Les changements climatiques menacent de faire basculer près d’un million d’ivoiriens supplémentaires dans l’extrême pauvreté, d’augmenter le risque de stress hydrique, avec de plus en plus de régions qui devraient voir plus de 10 % de leur population en pénurie d’eau, et d’augmenter la recrudescence des maladies associées à l’air et à l’eau parmi les populations sensibles (Contributions Déterminées au niveau National, CDN-COTE D’IVOIRE, mars 2022). Selon la Banque Mondiale, d’ici 2050, la Côte d’Ivoire sera confrontée à une augmentation de la température de deux degrés Celsius en moyenne, à une plus grande variabilité pluviométrique et une élévation du niveau de la mer de 30 cm le long du littoral (Banque Mondiale, 2018a).

Ces changements climatiques affectent tous les secteurs de développement. Cependant, les différences entre les hommes et les femmes dans leurs rapports avec leur environnement, les différences dans la composition des secteurs économiques et l’accès inégal aux ressources et aux prises de décision amplifieront les impacts des changements climatiques sur certaines catégories de population dont les femmes.

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est donc une réponse à cette réalité.

4. Objectif général

Renforcer l’adaptation aux changements climatiques des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans les régions côtières et insulaires écologiquement sensibles en Côte d’Ivoire.

5. Objectifs spécifiques

  • Accroitre l’influence des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans le plaidoyer politique sur le climat et dans la gouvernance des écosystèmes à forte biodiversité et vulnérables aux changements climatiques.
  • Accroitre l’adoption de solutions basées sur la nature telles que l’agroécologie, la protection et la restauration des écosystèmes et de la biodiversité, pour l’adaptation aux changements climatiques, par les femmes rurales et autochtones et les jeunes.
  • Renforcer la résilience climatique des femmes rurales et autochtones et des jeunes par l’autonomisation économique et la diversification énergétique.

6. Période de réalisation : 2023 - 2026

7. Public cible / bénéficiares: Jeunes 41 % & Femmes rurales et autochtones 59 %

8. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Adiaké, Grand-Bassam, Jacqueville et Grand-Lahou.

9. Actions du projets

·       Diagnostic les obstacles et facteurs facilitant la participation active des groupes cibles dans les instances de décision de la gestion de biodiversité et du climat ;

·       Diagnostics participatifs réalisés par les instances locales sur la vulnérabilité climatique des écosystèmes et identification de mesures et stratégies d’adaptation sensibles au genre ;

·       Formations des femmes rurales et autochtones et les jeunes pour renforcer et maintenir leur participation dans les instances de décision ;

·       Formations des bénéficiaires sur les politiques climatiques et de conservation de la biodiversité ;

·       Formations des communautés participantes en développement des affaires, chaines de valeurs inclusives, gestion de coopérative, et mise en marché direct réalisées

·       Ateliers villageois de sensibilisation et de formation sur les mesures d’atténuation et d’adaptation favorisant la biodiversité et sensibles au genre réalisés dans les communautés participantes.

·       Plans de gestion et d’aménagement des écosystèmes conçus et mis en œuvre dans les communautés participantes.

·       Appui technique et financier aux communautés participantes pour la réalisation de pratiques agro écologiques résilientes au climat (micro-élevage, agroforesterie, maraichage, apiculture et ostréiculture) ; pour renforcer l’accès à l’eau productive, aux intrants et équipements agricoles ; pour l’installation de pépinières et reboisement des écosystèmes côtiers

·       Équipements solaires et éco énergétiques pour la production, la transformation et la conservation des aliments et formations sur l’utilisation et l’entretien des équipements

·       Mise en réseau des femmes et jeunes et plaidoyer

 

·       Appuis et renforcement des systèmes d’épargne et de crédit fournis aux groupements de femmes.

10. Partenaires techniques et financiers

Projet financé par Affaire Mondiale Canada et mis en œuvre par INTERPARES, SUCO et leurs partenaires dont Inades-Formation – Secrétariat Général pour la Cote d’Ivoire.

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