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Les femmes restauratrices en Côte d’Ivoire engagées pour la promotion des vivres de souveraineté et leur repositionnement dans les habitudes alimentaires des populations

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En vue de la promotion des systèmes alimentaires basés sur l’agriculture familiale, le mercredi 11 avril 2018, s’est tenu au Secrétariat général d’Inades-Formation, un forum d’échanges sur les savoirs et expériences en matière de valorisation de mets à base de vivres de souveraineté et exploration d’opportunités d’entreprenariat des femmes restauratrices en Côte d’Ivoire.

Ce forum, organisé par le Secrétariat général en partenariat avec Inades-Formation Côte d’Ivoire dans le cadre du programme de valorisation des vivres de souveraineté, a vu la participation d’une trentaine de femmes restauratrices, transformatrices de vivres de souveraineté tels que le mil, le sorgho, le haricot/niébé et le poulet local. Ces femmes sont venues des communes d’Abidjan et d’autres villes du pays notamment le Nord et le centre de la Côte d’Ivoire où ces vivres sont le plus consommés.

 

Une vue des participantes à l’atelier

Pour rappel, les « vivres de souveraineté » sont, du point de vue conceptuel[1], des cultures vivrières et produits d’élevage et/ou produits de la cueillette traditionnellement dominantes dans l’alimentation des populations locales des pays africains au Sud du Sahara mais qui de nos jours, sont en perte de vitesse au niveau de la production et de moins en moins importante, dans le panier alimentaire des ménages. Les causes de cette perte d’importance sont diverses :

  • Abandon progressif, par les producteurs, pour des raisons de pénibilité du travail, surtout au niveau du conditionnement ;
  • Changements au niveau des habitudes de consommation pour raison de substitution par d’autres produits importés ou issus des semences hybrides ;
  • Baisse du soutien au développement du secteur agricole familial et des échanges alimentaires entre villes et campagnes, l’accent mis sur des politiques de promotion de la monoculture d’exportation au détriment des cultures traditionnelles.

Or, ces cultures, véritables vivres de souveraineté, ont des grandes vertus – valeurs nutritives mondialement reconnues, valeurs thérapeutiques, valeurs culturelles / traditionnelles (utilisées spécialement pour des rites traditionnels ou cérémonies traditionnelles, comme les mariages, baptêmes, funérailles, etc.). C’est enfin des cultures vivrières de résilience (sols pauvres, changement climatique, etc.), les exploitants agricoles familiaux, surtout les femmes, sont les dépositaires d’un vaste savoir et savoir-faire accumulé autour de ces produits en matière des pratiques culturales enrichies transmises de génération en génération, de recettes pour cuisiner les « mets du terroir » et de la préservation de l’agro-biodiversité.

En effet, le concept de « vivres de souveraineté » découle de ces caractéristiques de résilience, de savoir et savoir-faire accumulé sur les semences, les techniques culturales et des recettes pour cuisiner. Ainsi, repositionner les « vivres de souveraineté » au cœur des systèmes alimentaires des pays africains permettra entre autres :

  • De consolider et amplifier le patrimoine intellectuel et culturel des populations locales (savoir, savoir-faire et savoir vivre locaux) en matière de pratiques culturales et de recettes pour cuisiner les « mets du terroir » enrichies et transmises de génération en génération, ce qui constitue d’importants leviers de souveraineté alimentaire ;
  • De retisser les liens décisifs entre villes et campagnes, soutenir l’émergence d’une économie sociale et solidaire (solidarité ville-campagne), comme moteur d’amélioration du système de desserte des marchés locaux et urbains et à tous les acteurs intervenant dans la production, la transformation et la distribution de vivres obtenues dignement du fruit de leur labeur ;
  • De stimuler la prise de conscience sur le rôle stratégique des vivres de souveraineté dans les systèmes alimentaires locaux et nationaux et d’attirer l’attention des décideurs et du grand public sur les menaces de disparition de produits alimentaires locaux et les opportunités présentes.
Intervention des participantes

  Le forum a été articulé autour des objectifs suivants :

  • Mettre en relation les femmes restauratrices de vivres de souveraineté et analyser ensemble les enjeux et défis de la valorisation des services de restauration à base de vivres de souveraineté dans la perspective du « concept de Restaurants de Proximité » ;
  • Collecter les pratiques et savoirs associés aux mets de souveraineté ;
  • Stimuler les initiatives de mise en réseau de femmes restauratrices de vivres de souveraineté à Abidjan.

Les participants ont ainsi échangé sur l’importance de la valorisation des services de restauration à base de vivres de souveraineté.

Un accent a été mis  le positionnement du principe de la souveraineté alimentaire, la promotion de mets reconnus pour leurs valeurs nutritives, thérapeutiques,  culturelles et les opportunités offertes en matière d’entreprenariat  et autonomisation de femmes.

Les participantes, qui, déjà, connaissent les valeurs de ces vivres de souveraineté, ont affirmé leur adhésion à cette vision et remercié Inades-Formation pour l’initiative de promouvoir ces produits agricoles ancestraux.

 

Les Vivres de souveraineté, des produits appréciés par la population mais insuffisamment mis en valeurs.

Les femmes restauratrices participant au forum ont reconnu l’intérêt que la population porte aux mets issus des vivres de souveraineté et du marché potentiel qu’ils constituent.

Selon elles, toutes les couches de la population aiment à les consommer . Toutefois, pour regagner une place de choix dans les habitudes alimentaires des populations, les produits devraient être mis en valeurs à travers une meilleure présentation des mets, des menus variés, la modernisation des étals de vente, une communication soutenue, etc. Toute chose qui demande aux femmes de se montrer créatives, novatrices et déterminées.

Elles ont partagé leurs expériences quant aux difficultés rencontrées dans l’exécution de leurs activités de restauration à base des vivres de souveraineté sur le plan aspect organisationnel, financier, matériel, disponibilité des produits, prix des produits, qualité des produits, clientèle. Elles  ont  relevé leurs besoins pour consolider et promouvoir leurs activités.

Ainsi, les questions d’hygiène, de présentation, de traitement des produits ont été relevées. Ce fut l’occasion pour elles de se donner des conseils les unes aux autres pour l’amélioration de leur activité commerciale.

Elles ont ainsi exprimé le besoin d’un réseautage entre les restauratrices afin de garantir la disponibilité et la qualité des vivres de souveraineté, échanger des informations d’ordre opérationnel et promouvoir la solidarité autour de leur métier. Elles ont par ailleurs identifié diverses actions de communication pour la promotion des vivres de souveraineté.

Ce fut également l’occasion d’entretenir les participantes sur les exigences en matière de gestion des commandes de restauration des vivres de souveraineté pour leur permettre d’être davantage compétitives dans la conquête de nouveaux marchés.

Intervention des participantes

 

De nouveaux mets identifiés

Ce forum avec les femmes a permis d’identifier 16 nouveaux mets locaux, souvent créés ou inventés par les restauratrices elles-mêmes en s’inspirant des menus modernes faits à partir d’autres céréales, légumineuses ou autres.

Ainsi, les participantes ont pu se rendre compte de la diversité des propositions et de la possibilité infinies de créer de nouveaux mets. Une possibilité qu’elles avaient déjà entrevue à travers les échantillons de mets et boissons à base de vivres de souveraineté apportées par les unes et les autres.

Pâtisserie à base de mil
Différents mets à base de mil et haricot confectionnés par les participantes
Différents mets confectionnés par les participantes

Les femmes engagées pour la poursuite des échanges et des apprentissages collectifs

Le forum s’est clôturé sur fond d’un enthousiasme de participantes et sur l’engagement à approfondir les questions relatives aux aspects organisationnels, à la qualité des services de restauration et des mets offerts, à la communication et à la mise en réseau.

[1] Concept Inades-Formation avec des dimensions économiques, sociales, environnementales et politiques

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Projet ABCD2

Projet ABCD-Un élève un arbre COP28

1. Titre du projet

Accompagnement de la mise à l’échelle des expériences développées par les communautés et des dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques en réponse au problème du changement climatique en Afrique subsaharienne (dit projet ABCD 2)

2. Resumé

Le projet de mise à l’échelle des expériences communautaires et dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques face au changement climatique en Afrique subsaharienne est la continuation d’un premier projet de capitalisation desdites expériences.

En effet, en 2022, sur financement de l’Agence Basque de Coopération au Développement (ABCD), Inades-Formation a mené le projet « Etude-capitalisation des bonnes pratiques face aux défis du changement climatique et gouvernance locale en Afrique subsaharienne », qui a permis de capitaliser 50 expériences dont 31 expériences d’adaptation au changement climatique et 19 expériences de gouvernance dans 11 pays en Afrique sub-saharienne.

Sur la base des acquis de ce projet pilote, quelques réalités vivantes sur les efforts des communautés en matière de lutte contre les problèmes posés par le changement climatique en Afrique ont pu être décelées et capitalisées. Elles ont été développées par une diversité d’acteurs dont des services publics spécialisés sur la gestion de l’environnement et du changement climatique, les organisations de la société civile et les organisations paysannes.

Dans le cadre de cette deuxième phase du projet dont la durée est de 30 mois (2022-2024), l’idée est de (i) mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique et de (ii) soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés.

3. Objectif général

Contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, à travers la promotion à grande échelle des expériences locales et des mesures politiques concertées relatives aux mécanismes d’adaptation, d’atténuation et de résilience des populations vulnérables, surtout les populations rurales en Afrique subsaharienne.

4. Objectifs spécifiques

  • Mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique
  • Soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés

5. Période de réalisation : Juin 2022 à novembre 2024

6. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Le projet est réalisé dans 11 pays : Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d’Ivoire, Kenya, RD Congo, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Tchad et Togo.

7. Partenaire financier

Agence Basque de Coopération et de Développement (ABCD)

9. Partenaires de mise en oeuvre

17 organisations de développement local, porteuses de projets qui dupliqueront dans les bonnes expériences capitalisées dans la phase 1 du projet. Elles ont été sélectionnées sur la base des critères d’évaluation d’efficacité, efficience, pertinence, durabilité et équité basée sur le genre, suite à un appel à projet lancé par Inades-Formation.

Liste des organisations et leurs projets

Pays

Organisation

Titre du projet

1

Burkina Faso

UGF-CDN

Renforcement de la résilience des femmes au changement climatique par la promotion des pratiques agroécologiques. Cas de la ferme agroécologique des femmes de l’Union des Groupements Féminins Ce Dwane Nyee (UGF/CDN), province du Sanguie Région du Centre Ouest Burkina Faso

2

Burkina Faso

Inades-Formation Burkina

Renforcement de l’écocitoyenneté par l’éducation environnementale des élèves de la commune de Arbollé dans la région du nord du Burkina Faso

3

Burundi

Inades-Formation Burundi

Promotion de l’éducation environnementale en milieu scolaire pour faire face au changement climatique

4

Cameroun

FAP NGO CAMEROON

Promotion of Community Initiatives to Protect Common Interest Resources in Cameroon

5

Côte d’Ivoire

CDD-CI

Un élève, un arbre pour lutter contre l’érosion côtière et la disparition des mangroves

6

RD Congo

UWAKI Nord-Kivu

Projet d’appui à la valorisation des semences paysannes dans les unions de Luofu, Kipese et Lubero en territoire de Lubero au Nord-Kivu / RDC. Inspiré de l’expérience de l’Union des groupements Naam de Koumbri au Burkina Faso

7

RD Congo

ACOSYF

L’éducation environnementale à la base pour répondre aux problèmes du changement climatique dans la Chefferie de Kaziba en RD Congo

8

Kenya

Inades-Formation Kenya

The scaling up of experiences developed by communities and the dynamics of school-based re-afforestation initiatives to address climate change in Kenya

9

Rwanda

RECOR Rwanda

Affordable solar pumps for small-scale irrigation, a revolutionary technology to help farmers increase their resilience capacity to climate change issues in Rwanda

10

Rwanda

Inades-Formation Rwanda

Démultiplication de la pratique de greffage des arbres fruitiers pour l’augmentation de la résilience au changement climatique des agriculteurs du district Bugesera

11

Sénégal

7A MAA REWEE

Projet de promotion de la conservation de l’agro-biodiversité par le renforcement des capacités et la documentation des variétés de semences locales au Sénégal

12

Tanzanie

Inades-Formation Tanzanie

Promotion of community seed banks for the conservation of agro-biodiversity through capacity building and documentation of local seed varieties in Kondoa and Chemba Districts of Dodoma Region, Tanzania”

13

Tchad

Inades-Formation Tchad

Promotion de banques de semences, Démultiplier l’Expériences de Seeds Savers Network /Kenya

14

Tchad

ATASANPE Tchad

Démultiplier le projet « Un élève, un arbre » développé par ACOSYF RD Congo

15

Togo

APAD International Togo

La gouvernance des espaces protégés : Cas des flancs de montagne à Agou au Togo

16

Togo

Inades-Formation Togo

Systèmes d’exploitation familiale intégrée continue et compétitive pour une résilience paysanne face au changement climatique dans la commune de Tchamba 2

17

Togo

JVE Togo

Gouvernance des systèmes semenciers locaux auprès des coopératives de femmes de la forêt classée d’Assimé pour la résilience climatique

Projet ACF-AO

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1. Titre du projet

Projet action climatique féministe – Afrique de l’ouest ACF-AO

2. Resumé

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est mis en œuvre en Côte d’Ivoire pour contribuer efficacement à la résilience et à lutte contre les effets du changement climatique par les communautés côtières et insulaires écologiquement sensibles avec un accent particulier sur les femmes rurales et le jeunes. 

Il renforcera les capacités des communautés, des femmes et des jeunes en particulier, pour la mise en œuvre de stratégies de protection de la biodiversité et d’écosystèmes notamment par l’adoption de pratiques agroécologiques, la diversification énergétique et des plaidoyers. Il permettra de renforcer la participation des femmes rurales et des jeunes à la gouvernance locale de la biodiversité et l’action climatique.

Financé par Affaires mondiales Canada | Global Affairs Canada, le projet ACF AO se déroule en Côte d’Ivoire, en Guinée-Bissau, au Sénégal et au Togo.

Il est piloté en Côte d’Ivoire par SUCO et Inades-Formation – Secrétariat Général.

3. Contexte

Les changements climatiques menacent de faire basculer près d’un million d’ivoiriens supplémentaires dans l’extrême pauvreté, d’augmenter le risque de stress hydrique, avec de plus en plus de régions qui devraient voir plus de 10 % de leur population en pénurie d’eau, et d’augmenter la recrudescence des maladies associées à l’air et à l’eau parmi les populations sensibles (Contributions Déterminées au niveau National, CDN-COTE D’IVOIRE, mars 2022). Selon la Banque Mondiale, d’ici 2050, la Côte d’Ivoire sera confrontée à une augmentation de la température de deux degrés Celsius en moyenne, à une plus grande variabilité pluviométrique et une élévation du niveau de la mer de 30 cm le long du littoral (Banque Mondiale, 2018a).

Ces changements climatiques affectent tous les secteurs de développement. Cependant, les différences entre les hommes et les femmes dans leurs rapports avec leur environnement, les différences dans la composition des secteurs économiques et l’accès inégal aux ressources et aux prises de décision amplifieront les impacts des changements climatiques sur certaines catégories de population dont les femmes.

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est donc une réponse à cette réalité.

4. Objectif général

Renforcer l’adaptation aux changements climatiques des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans les régions côtières et insulaires écologiquement sensibles en Côte d’Ivoire.

5. Objectifs spécifiques

  • Accroitre l’influence des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans le plaidoyer politique sur le climat et dans la gouvernance des écosystèmes à forte biodiversité et vulnérables aux changements climatiques.
  • Accroitre l’adoption de solutions basées sur la nature telles que l’agroécologie, la protection et la restauration des écosystèmes et de la biodiversité, pour l’adaptation aux changements climatiques, par les femmes rurales et autochtones et les jeunes.
  • Renforcer la résilience climatique des femmes rurales et autochtones et des jeunes par l’autonomisation économique et la diversification énergétique.

6. Période de réalisation : 2023 - 2026

7. Public cible / bénéficiares: Jeunes 41 % & Femmes rurales et autochtones 59 %

8. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Adiaké, Grand-Bassam, Jacqueville et Grand-Lahou.

9. Actions du projets

·       Diagnostic les obstacles et facteurs facilitant la participation active des groupes cibles dans les instances de décision de la gestion de biodiversité et du climat ;

·       Diagnostics participatifs réalisés par les instances locales sur la vulnérabilité climatique des écosystèmes et identification de mesures et stratégies d’adaptation sensibles au genre ;

·       Formations des femmes rurales et autochtones et les jeunes pour renforcer et maintenir leur participation dans les instances de décision ;

·       Formations des bénéficiaires sur les politiques climatiques et de conservation de la biodiversité ;

·       Formations des communautés participantes en développement des affaires, chaines de valeurs inclusives, gestion de coopérative, et mise en marché direct réalisées

·       Ateliers villageois de sensibilisation et de formation sur les mesures d’atténuation et d’adaptation favorisant la biodiversité et sensibles au genre réalisés dans les communautés participantes.

·       Plans de gestion et d’aménagement des écosystèmes conçus et mis en œuvre dans les communautés participantes.

·       Appui technique et financier aux communautés participantes pour la réalisation de pratiques agro écologiques résilientes au climat (micro-élevage, agroforesterie, maraichage, apiculture et ostréiculture) ; pour renforcer l’accès à l’eau productive, aux intrants et équipements agricoles ; pour l’installation de pépinières et reboisement des écosystèmes côtiers

·       Équipements solaires et éco énergétiques pour la production, la transformation et la conservation des aliments et formations sur l’utilisation et l’entretien des équipements

·       Mise en réseau des femmes et jeunes et plaidoyer

 

·       Appuis et renforcement des systèmes d’épargne et de crédit fournis aux groupements de femmes.

10. Partenaires techniques et financiers

Projet financé par Affaire Mondiale Canada et mis en œuvre par INTERPARES, SUCO et leurs partenaires dont Inades-Formation – Secrétariat Général pour la Cote d’Ivoire.

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