OGM : l’Afrique, terrain de jeu des multinationales !

PasdOGM

Partager cet article

Share on facebook
Share on linkedin
Share on twitter
Share on email

A l’occasion du 17 avril 2016, journée internationale des lutte paysannes, M. Jean-Paul Sikeli, secretaire exécutif de la Coalition pour la Protection du Patrimoine Génétique Africain (COPAGEN) nous met en garde contre les OGM, une menace de plus en plus pesante sur les Etats africains.

L’Afrique dans la ligne de mire des puissants lobbies de l’agrobusiness


Depuis plus d’une décennie, les lobbies de l’agro-industrie tentent d’imposer les OGM [1] à l’Afrique. Les efforts déployés par ces derniers pour introduire les cultures génétiquement modifiées dans l’agriculture et l’alimentation africaines ne faiblissent pas. On assiste de plus en plus à la structuration de réseaux et d’organisations à la solde de firmes biotechnologiques telles que Monsanto, qui ont décidé de multiplier les offensives en faveur de cette technologie agricole.


En effet, chaque année, l’ISAAA (The International Service for the Acquisition of Agri-Biotech Applications) produit un rapport annuel sur la situation des OGM dans le monde. Cette initiative ne vise qu’un objectif, celui de faire la promotion des cultures transgéniques en Afrique et dans le monde.


Le plus souvent, c’est sous le couvert d’un discours faussement drapé d’humanisme que les promoteurs des OGM arrivent à faire accepter leurs produits. Sous des arguties spécieuses, comme l’éradication de la faim et de la pauvreté, certaines multinationales et leurs bras séculiers, font miroiter le développement économique des petits agriculteurs, l’emploi pour la jeunesse…
Pourtant, ce discours séducteur cache mal les pressions que subissent certains Etats africains pour ouvrir leurs portes aux OGM. En général, ces derniers se servent de leur considérable pouvoir pour persuader les gouvernements africains de mettre en place des politiques et des mécanismes qui garantiront un fonctionnement sans heurts de l’agrobusiness. Ce sont d’ailleurs ces officines qui tirent les ficelles dans le vaste mouvement de reconfiguration des politiques et règlementations foncières et semencières auquel nous assistons aujourd’hui en Afrique [2].
Des initiatives telles que l’AGRA [3] , la NASAN [4] …. ne sont rien d’autres que des cadres structurels par lequel les multinationales cherchent à pénétrer l’Afrique pour étendre leur marché de semences, d’engrais chimiques, de fertilisant…


Si jusque-là, l’Afrique du Sud était le seul pays africain où les cultures génétiquement modifiées sont officiellement commercialisées, certains Etats africains semblent avoir été contaminés par le virus transgénique. Dans au moins une douzaine de pays, des recherches sont actuellement menées [5] . On assiste dans le même temps à une extension des expérimentations biotechnologiques à d’autres cultures et à des animaux [6].


Les OGM d’échec en échec


En Inde, l’échec du coton transgénique qui s’est accompagné d’une vague de suicides de paysans et les revers essuyé par les multinationales dans les litiges les opposant aux communautés au sujet du brevetage de variétés locales, a considérablement réduit leur influence dans la zone. Elles (les multinationales) se sont donc rabattues sur l’Afrique, qui en raison de la faiblesse des mécanismes de gouvernance, se prête comme un terreau fertile pour les expérimentations transgéniques et comme un marché potentiellement juteux.
Le continent noir dont l’économie et la survie des populations reposent essentiellement sur l’agriculture coure des risques incalculables avec l’avènement des OGM. 
Dans la région ouest africaine, le Burkina Faso est le premier pays à avoir accepté les OGM sur son sol, avec la culture du coton Bt. Ce pays constitue pour ainsi dire un laboratoire pour l’expérimentation des OGM en Afrique.
L’expérimentation du Coton Bt s’y est révélé être un cuisant échec, désabusant les paysans. Aucune des promesses annoncées n’a été tenue, ni en terme de quantité, les rendements ayant été faibles, ni en terme de qualité, la fibre étant plus courte. Les paysans burkinabè qui se sont engagés sur cette voie à l’issue incertaine, paient cher la note salée, avec une semence de coton Bt 18 fois supérieure au coton conventionnel. Cette débâcle a obligé le pays à abandonner la fausse route, en rebroussant chemin pour revenir sur ses pas, avec les spéculations classiques.


L’Afrique exposée à d’énormes risques


Au-delà de ces échecs, la plus grande inconnue reste les risques écologiques dont on n’ignore encore la nature et l’étendue. Il faut craindre le pire quand on sait que les dommages écologiques sont graves et irréversibles.
A ce sujet, lors d’une enquête sur le coton Bt au Burkina, des paysans ont témoigné avoir remarqué des choses inhabituelles dans leurs champs. En effet, habituellement, après les récoltes, les termites s’attaquent généralement aux tiges sèches des cotonniers. Dans le cas du coton Bt, ces tiges repoussent les termites. Il en est de même pour les animaux d’élevage tels que les bœufs qui ne sont pas du tout attirés par les tiges du cotonnier Bt, à la différence du cotonnier conventionnel. C’est donc un manque à gagner pour les éleveurs qui devront trouver des substituts au risque de perdre leurs bêtes, faute d’aliments.
On imagine aussi difficilement que la consommation de l’huile de coton par l’homme ne puisse pas avoir de répercussions négatives sur sa santé, quand on sait que la technologie elle-même est sujette à questionnement. Dans le cas spécifique du coton Bt, il s’agit d’introduire une bactérie le Bacillus Thuringiensis dans le cotonnier. Or, il n’est pas exagéré d’avancer que cette bactérie, prétendument inoffensive dans son milieu naturel, peut subir des mutations dans un milieu réceptif tel que le cotonnier et être impropre à la consommation humaine. Les risques sanitaires sont donc élevés et restent la plus grande inconnue dans cette délicate équation. Qu’adviendra-t-il de tous ceux qui ont consommé cette huile, dans dix ou quinze ans ? Personne ne peut le dire avec exactitude.
Devant le constat d’échec du coton Bt, les responsables de la recherche agronomique du Burkina en accord avec les responsables de Monsanto ont décidé dans un premier temps de trouver un palliatif pour relancer le coton Bt en recourant à une solution tout aussi dangereuse : l’apport du glyphosate. Or, ce produit a été jugé de « probablement cancérogène pour l’être humain » par l’OMS. C’est dire, jusqu’où les promoteurs des OGM sont capables de pousser leur logique mue par des intérêts exclusivement mercantiles .
Le Burkina ne doit son salut qu’à la détermination de la société civile qui a fait reculer les firmes biotechnologiques, sous la pression de la plume, des ondes et de la rue. Ces firmes, qui lorgnent actuellement du côté de la Côte d’Ivoire et du Nigeria, veulent liquéfier ou liquider le capital productif agricole des pays africains en imposant des agropoles, à travers un système qui rame à contrecourant de la souveraineté alimentaire. Ce système capitaliste dont les OGM constituent une pièce maîtresse, pâtit du paysage hideux de la mondialisation avec son corollaire d’injustices, de violation des droits des communautés et de déni d’accès des plus pauvres au « statut privilégié d’homme ».
Alors pourquoi prendre tant de risques pour une technologie qui ne profite qu’aux multinationales ?

Jean-Paul SIKELI, Secrétaire Exécutif de la COPAGEN

Continuez votre lecture...

Projet ABCD2

Projet ABCD-Un élève un arbre COP28

1. Titre du projet

Accompagnement de la mise à l’échelle des expériences développées par les communautés et des dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques en réponse au problème du changement climatique en Afrique subsaharienne (dit projet ABCD 2)

2. Resumé

Le projet de mise à l’échelle des expériences communautaires et dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques face au changement climatique en Afrique subsaharienne est la continuation d’un premier projet de capitalisation desdites expériences.

En effet, en 2022, sur financement de l’Agence Basque de Coopération au Développement (ABCD), Inades-Formation a mené le projet « Etude-capitalisation des bonnes pratiques face aux défis du changement climatique et gouvernance locale en Afrique subsaharienne », qui a permis de capitaliser 50 expériences dont 31 expériences d’adaptation au changement climatique et 19 expériences de gouvernance dans 11 pays en Afrique sub-saharienne.

Sur la base des acquis de ce projet pilote, quelques réalités vivantes sur les efforts des communautés en matière de lutte contre les problèmes posés par le changement climatique en Afrique ont pu être décelées et capitalisées. Elles ont été développées par une diversité d’acteurs dont des services publics spécialisés sur la gestion de l’environnement et du changement climatique, les organisations de la société civile et les organisations paysannes.

Dans le cadre de cette deuxième phase du projet dont la durée est de 30 mois (2022-2024), l’idée est de (i) mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique et de (ii) soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés.

3. Objectif général

Contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, à travers la promotion à grande échelle des expériences locales et des mesures politiques concertées relatives aux mécanismes d’adaptation, d’atténuation et de résilience des populations vulnérables, surtout les populations rurales en Afrique subsaharienne.

4. Objectifs spécifiques

  • Mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique
  • Soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés

5. Période de réalisation : Juin 2022 à novembre 2024

6. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Le projet est réalisé dans 11 pays : Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d’Ivoire, Kenya, RD Congo, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Tchad et Togo.

7. Partenaire financier

Agence Basque de Coopération et de Développement (ABCD)

9. Partenaires de mise en oeuvre

17 organisations de développement local, porteuses de projets qui dupliqueront dans les bonnes expériences capitalisées dans la phase 1 du projet. Elles ont été sélectionnées sur la base des critères d’évaluation d’efficacité, efficience, pertinence, durabilité et équité basée sur le genre, suite à un appel à projet lancé par Inades-Formation.

Liste des organisations et leurs projets

Pays

Organisation

Titre du projet

1

Burkina Faso

UGF-CDN

Renforcement de la résilience des femmes au changement climatique par la promotion des pratiques agroécologiques. Cas de la ferme agroécologique des femmes de l’Union des Groupements Féminins Ce Dwane Nyee (UGF/CDN), province du Sanguie Région du Centre Ouest Burkina Faso

2

Burkina Faso

Inades-Formation Burkina

Renforcement de l’écocitoyenneté par l’éducation environnementale des élèves de la commune de Arbollé dans la région du nord du Burkina Faso

3

Burundi

Inades-Formation Burundi

Promotion de l’éducation environnementale en milieu scolaire pour faire face au changement climatique

4

Cameroun

FAP NGO CAMEROON

Promotion of Community Initiatives to Protect Common Interest Resources in Cameroon

5

Côte d’Ivoire

CDD-CI

Un élève, un arbre pour lutter contre l’érosion côtière et la disparition des mangroves

6

RD Congo

UWAKI Nord-Kivu

Projet d’appui à la valorisation des semences paysannes dans les unions de Luofu, Kipese et Lubero en territoire de Lubero au Nord-Kivu / RDC. Inspiré de l’expérience de l’Union des groupements Naam de Koumbri au Burkina Faso

7

RD Congo

ACOSYF

L’éducation environnementale à la base pour répondre aux problèmes du changement climatique dans la Chefferie de Kaziba en RD Congo

8

Kenya

Inades-Formation Kenya

The scaling up of experiences developed by communities and the dynamics of school-based re-afforestation initiatives to address climate change in Kenya

9

Rwanda

RECOR Rwanda

Affordable solar pumps for small-scale irrigation, a revolutionary technology to help farmers increase their resilience capacity to climate change issues in Rwanda

10

Rwanda

Inades-Formation Rwanda

Démultiplication de la pratique de greffage des arbres fruitiers pour l’augmentation de la résilience au changement climatique des agriculteurs du district Bugesera

11

Sénégal

7A MAA REWEE

Projet de promotion de la conservation de l’agro-biodiversité par le renforcement des capacités et la documentation des variétés de semences locales au Sénégal

12

Tanzanie

Inades-Formation Tanzanie

Promotion of community seed banks for the conservation of agro-biodiversity through capacity building and documentation of local seed varieties in Kondoa and Chemba Districts of Dodoma Region, Tanzania”

13

Tchad

Inades-Formation Tchad

Promotion de banques de semences, Démultiplier l’Expériences de Seeds Savers Network /Kenya

14

Tchad

ATASANPE Tchad

Démultiplier le projet « Un élève, un arbre » développé par ACOSYF RD Congo

15

Togo

APAD International Togo

La gouvernance des espaces protégés : Cas des flancs de montagne à Agou au Togo

16

Togo

Inades-Formation Togo

Systèmes d’exploitation familiale intégrée continue et compétitive pour une résilience paysanne face au changement climatique dans la commune de Tchamba 2

17

Togo

JVE Togo

Gouvernance des systèmes semenciers locaux auprès des coopératives de femmes de la forêt classée d’Assimé pour la résilience climatique

Projet ACF-AO

WhatsApp Image 2023-08-24 at 15.13.12

1. Titre du projet

Projet action climatique féministe – Afrique de l’ouest ACF-AO

2. Resumé

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est mis en œuvre en Côte d’Ivoire pour contribuer efficacement à la résilience et à lutte contre les effets du changement climatique par les communautés côtières et insulaires écologiquement sensibles avec un accent particulier sur les femmes rurales et le jeunes. 

Il renforcera les capacités des communautés, des femmes et des jeunes en particulier, pour la mise en œuvre de stratégies de protection de la biodiversité et d’écosystèmes notamment par l’adoption de pratiques agroécologiques, la diversification énergétique et des plaidoyers. Il permettra de renforcer la participation des femmes rurales et des jeunes à la gouvernance locale de la biodiversité et l’action climatique.

Financé par Affaires mondiales Canada | Global Affairs Canada, le projet ACF AO se déroule en Côte d’Ivoire, en Guinée-Bissau, au Sénégal et au Togo.

Il est piloté en Côte d’Ivoire par SUCO et Inades-Formation – Secrétariat Général.

3. Contexte

Les changements climatiques menacent de faire basculer près d’un million d’ivoiriens supplémentaires dans l’extrême pauvreté, d’augmenter le risque de stress hydrique, avec de plus en plus de régions qui devraient voir plus de 10 % de leur population en pénurie d’eau, et d’augmenter la recrudescence des maladies associées à l’air et à l’eau parmi les populations sensibles (Contributions Déterminées au niveau National, CDN-COTE D’IVOIRE, mars 2022). Selon la Banque Mondiale, d’ici 2050, la Côte d’Ivoire sera confrontée à une augmentation de la température de deux degrés Celsius en moyenne, à une plus grande variabilité pluviométrique et une élévation du niveau de la mer de 30 cm le long du littoral (Banque Mondiale, 2018a).

Ces changements climatiques affectent tous les secteurs de développement. Cependant, les différences entre les hommes et les femmes dans leurs rapports avec leur environnement, les différences dans la composition des secteurs économiques et l’accès inégal aux ressources et aux prises de décision amplifieront les impacts des changements climatiques sur certaines catégories de population dont les femmes.

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est donc une réponse à cette réalité.

4. Objectif général

Renforcer l’adaptation aux changements climatiques des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans les régions côtières et insulaires écologiquement sensibles en Côte d’Ivoire.

5. Objectifs spécifiques

  • Accroitre l’influence des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans le plaidoyer politique sur le climat et dans la gouvernance des écosystèmes à forte biodiversité et vulnérables aux changements climatiques.
  • Accroitre l’adoption de solutions basées sur la nature telles que l’agroécologie, la protection et la restauration des écosystèmes et de la biodiversité, pour l’adaptation aux changements climatiques, par les femmes rurales et autochtones et les jeunes.
  • Renforcer la résilience climatique des femmes rurales et autochtones et des jeunes par l’autonomisation économique et la diversification énergétique.

6. Période de réalisation : 2023 - 2026

7. Public cible / bénéficiares: Jeunes 41 % & Femmes rurales et autochtones 59 %

8. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Adiaké, Grand-Bassam, Jacqueville et Grand-Lahou.

9. Actions du projets

·       Diagnostic les obstacles et facteurs facilitant la participation active des groupes cibles dans les instances de décision de la gestion de biodiversité et du climat ;

·       Diagnostics participatifs réalisés par les instances locales sur la vulnérabilité climatique des écosystèmes et identification de mesures et stratégies d’adaptation sensibles au genre ;

·       Formations des femmes rurales et autochtones et les jeunes pour renforcer et maintenir leur participation dans les instances de décision ;

·       Formations des bénéficiaires sur les politiques climatiques et de conservation de la biodiversité ;

·       Formations des communautés participantes en développement des affaires, chaines de valeurs inclusives, gestion de coopérative, et mise en marché direct réalisées

·       Ateliers villageois de sensibilisation et de formation sur les mesures d’atténuation et d’adaptation favorisant la biodiversité et sensibles au genre réalisés dans les communautés participantes.

·       Plans de gestion et d’aménagement des écosystèmes conçus et mis en œuvre dans les communautés participantes.

·       Appui technique et financier aux communautés participantes pour la réalisation de pratiques agro écologiques résilientes au climat (micro-élevage, agroforesterie, maraichage, apiculture et ostréiculture) ; pour renforcer l’accès à l’eau productive, aux intrants et équipements agricoles ; pour l’installation de pépinières et reboisement des écosystèmes côtiers

·       Équipements solaires et éco énergétiques pour la production, la transformation et la conservation des aliments et formations sur l’utilisation et l’entretien des équipements

·       Mise en réseau des femmes et jeunes et plaidoyer

 

·       Appuis et renforcement des systèmes d’épargne et de crédit fournis aux groupements de femmes.

10. Partenaires techniques et financiers

Projet financé par Affaire Mondiale Canada et mis en œuvre par INTERPARES, SUCO et leurs partenaires dont Inades-Formation – Secrétariat Général pour la Cote d’Ivoire.

FondAfrica

Inades-Formation
Au service du Bien Commun

FondAfrica

Inades-Formation vous remercie pour votre soutient  pour ses actions de développement économique et social en faveur du monde rural.

Votre don sera reversé au destinataire que vous avez choisi.

Suivez-nous en vous abonnant à notre newsletters.

Inades-Formation
Au service du Bien Commun

FondAfrica

1. Qu'est-ce que c'est ?

Le Fonds Africain d’appui au développement rural (FondAfrica) a été porté sur les fonts baptismaux le 23 juillet 1997 à Dar-es-Salaam en Tanzanie, à la suite d’un constat : le développement de l’Afrique ne passera que par son auto-financement.

FondAfrica est un appel à la générosité publique à travers des actions de collecte auprès des personnes physiques et morales.

2. Pourquoi faire un don ?

FondAfrica est un instrument particulier de la stratégie de financement d’Inades-Formation. FondAfrica a formulé sa vision à moyen terme ainsi qu’il suit « Dans 10 ans, et grâce aux revenus issus des fonds collectés par le Fondafrica, Inades-Formation aura porté sa capacité d’autofinancement des services rendus au monde rural africain à 40 % ».

Voulez-vous soutenir Inades-Formation dans ses actions de développement économique et social en faveur du monde rural? Si oui, alors agissez à travers FondAfrica en faisant un don.