Burkina-Faso: Local Innovators and Community Learning Circles Ready for Action

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Inades-Formation Burkina organized from 28th to 29th May 2020 in Dédougou a reflection workshop with the Local Innovators and Community Learning Circles (CILAC). This workshop aimed at making them more operational. About twenty representatives from seven CILACs participated in this activity. It is part of the implementation by Inades-Formation Burkina of the project on repositioning food for sovereignty. This project, which is being implemented in the Boucle du Mouhoun region, benefits from financial support from Misereor.

Local Innovators and Community Learning Circles (CILAC) are groups of 4 to 5 farmers who are experiencing the same realities and changes in agro-sylvo-pastoral production. These groups are constantly experimenting with solutions to the challenges they face.

Within the framework of the implementation of the project for the enhancement of sovereignty food by Inades-Formation Burkina during the period 2017-2019, seven (07) CILACs were set up in the Boucle du Mouhoun region, including 5 in the Mouhoun province and 2 in the Kossi province. The role of these CILACs is to document their observations, identify and document alternative solutions, experiment these alternative solutions and share the learning with community members and local partners.

Group work during the workshop

The work of the workshop to define benchmarks for evaluating the value added of the services provided by CILACs in their community led to the achievement of two main results.

The first is the definition of 05 benchmarks/criteria for evaluating the added value of the services provided by CILACs. These benchmarks are as follows:

  • increase in agricultural yields through the use of the services offered by the CILACs,
    the degree of mobilization of the population around the services provided by the CILACs,
    decreased spending on modern inputs,
    the appreciation by the population of the services rendered by the CILACs,
    the solicitation of authorities (municipal and technical) for the services rendered by CILACS

The second important result achieved is the identification of the main elements of the 2020-2022 action plan for each CILAC. These main elements relate in particular to the areas of activities, the actions/activities to be carried out, the actors to be involved in carrying out the activities and the implementation period.

The Dédougou workshop was also an opportunity to improve the participants’ knowledge of the concept of CILAC, the role and responsibilities of this structure, its mode of operation and the field of activities. This reflection and training workshop represents an important step for the CILACs in the process of operationalizing their actions.

However, the low level of education of their members is a handicap for their development. To this end, reflections are underway to enable them to meet the challenges they face in their work.

Participants in the reflection and training workshop for the members of the CILACs of the Boucle du Mouhoun

Samuel SOMDA / Inades-Formation Burkina Faso

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Projet ABCD2

Projet ABCD-Un élève un arbre COP28

1. Titre du projet

Accompagnement de la mise à l’échelle des expériences développées par les communautés et des dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques en réponse au problème du changement climatique en Afrique subsaharienne (dit projet ABCD 2)

2. Resumé

Le projet de mise à l’échelle des expériences communautaires et dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques face au changement climatique en Afrique subsaharienne est la continuation d’un premier projet de capitalisation desdites expériences.

En effet, en 2022, sur financement de l’Agence Basque de Coopération au Développement (ABCD), Inades-Formation a mené le projet « Etude-capitalisation des bonnes pratiques face aux défis du changement climatique et gouvernance locale en Afrique subsaharienne », qui a permis de capitaliser 50 expériences dont 31 expériences d’adaptation au changement climatique et 19 expériences de gouvernance dans 11 pays en Afrique sub-saharienne.

Sur la base des acquis de ce projet pilote, quelques réalités vivantes sur les efforts des communautés en matière de lutte contre les problèmes posés par le changement climatique en Afrique ont pu être décelées et capitalisées. Elles ont été développées par une diversité d’acteurs dont des services publics spécialisés sur la gestion de l’environnement et du changement climatique, les organisations de la société civile et les organisations paysannes.

Dans le cadre de cette deuxième phase du projet dont la durée est de 30 mois (2022-2024), l’idée est de (i) mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique et de (ii) soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés.

Projet ACF-AO

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1. Titre du projet

Projet action climatique féministe – Afrique de l’ouest ACF-AO

2. Resumé

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est mis en œuvre en Côte d’Ivoire pour contribuer efficacement à la résilience et à lutte contre les effets du changement climatique par les communautés côtières et insulaires écologiquement sensibles avec un accent particulier sur les femmes rurales et le jeunes. 

Il renforcera les capacités des communautés, des femmes et des jeunes en particulier, pour la mise en œuvre de stratégies de protection de la biodiversité et d’écosystèmes notamment par l’adoption de pratiques agroécologiques, la diversification énergétique et des plaidoyers. Il permettra de renforcer la participation des femmes rurales et des jeunes à la gouvernance locale de la biodiversité et l’action climatique.

Financé par Affaires mondiales Canada | Global Affairs Canada, le projet ACF AO se déroule en Côte d’Ivoire, en Guinée-Bissau, au Sénégal et au Togo.

Il est piloté en Côte d’Ivoire par SUCO et Inades-Formation – Secrétariat Général.

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