Inades-Formation présente les résultats du projet Biofabrique Cacao Côte d’Ivoire

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Les coopératives SCEB et CAMAYE, accompagnées par Inades-Formation et l’IRD et ETHIQUABLE ont mis en œuvre de 2021 à 2023, en Côte d’Ivoire le projet biofabrique cacao Côte d’Ivoire. Les résultats de ce projet, composante du programme Equité mené par AVSF en Afrique de l’Ouest et financé par l’AFD, ont été présenté lors d’un atelier de capitalisation organisé du 13 au 14 Juillet à Abidjan.

Les 13 et 14 juillet 2023, Inades-Formation, les coopératives SCEB et CAMAYE, l’IRD et AVSF membres du consortium pour la mise en œuvre du projet biofabrique : recherche-action-formation pour une cacaoculture agro-ecologique et bio autour des bio-fabriques en Côte d’Ivoire en abrégé projet Biofabrique Cacao-Côte d’Ivoire, ont présenté les résultats dudit projet à des acteurs de la cacaoculture en Côte d’Ivoire et aux partenaires au développement.

L’atelier de restitution qui a réuni une trentaine de participants dont les structures gouvernementales, à savoir MEMINADER, le ministère de l’environnement ; les industriels et acteurs du secteur cacao et les partenaires au développement, à l’hôtel Bluebay à Abidjan, a permis aux différents acteurs du projet de partager leurs expériences et les résultats des activités marquantes du projet.

Le projet Biofabrique avait pour le but de contribuer au développement d’un secteur bio en Côte d’Ivoire et rendre accessible et abordable les intrants organiques et les pesticides biologiques issus de recettes adaptées aux contextes locaux et aux besoins des producteurs pour accroître la valeur ajoutée du cacao mais surtout qui passe par une expérience alternative, sans intrants chimiques afin d’assurer la transition agro-forestière et agroécologique.

En effet, le secteur du cacao en Côte d’Ivoire doit faire face aux normes de l’agriculture durable. L’intensivité de sa production avec l’usage des pesticides chimiques de synthèse, la monoculture et la déforestation entrainée par la culture du cacao aggrave les effets du changement climatique et une baisse de la production. Pour sortir de ce cercle vicieux, certains agriculteurs qui se sont tournés vers le cacao bio mais se retrouvent confrontés à la difficulté d’accès aux biointrants.

Réalisé à en Côte d’Ivoire, Abengourou et à Tiassalé avec respectivement les coopératives CAMAYE et SCEB engagées dans le cacao bio, le projet biofabrique était subdivisé en 3 composantes que sont : la mise en place et l’équipement des biofabrique, la recherche-action et la formation de formateurs et de organisations paysannes aux pratiques agroécologiques.

Inades-Formation a organisé les différentes formations des producteurs et des techniciens à la fabrication des fertilisants et pesticides bio, aux bonnes pratiques agricoles dont la taille des cacaoyers et l’agroforesterie, à l’application de ces biointrants, à la gestion de biofabrique, etc. Les producteurs formateurs ont bénéficié de voyages d’échanges et de formation au niveau de la sous-région et dans des centres de référence tel le centre Songhai du Benin.

Les biointrants préparés, l’ont été à partir d’adaptation de recettes de biointrants produites en Amérique latine. Des parcelles expérimentales ont été créés pour observer l’impact des pratiques appliquées et les ont été producteurs associés à la collecte des données dans le cadre de la recherche-action. Le centre IRD est intervenu pour la collecte et l’analyse des données.

Parmi les résultats de ce projet, on peut retenir la formation de (nombre) producteurs à la fabrication de biointrants, la mise en place de deux biofabriques fonctionnelles à Camayé et à la SCEB, l’efficacité des biointrants produits et appliquées dans les champs, l’augmentation de la production des cacaoculteurs impliqués.

Les bio fabriques sont des unités de production d’un large spectre de biointrants pour une protection complète des cultures et d’amélioration de la fertilité des sols. Elles basent leur principe sur la valorisation des déchets de culture et de micro-organisme.

Selon le coordonnateur du projet, M. Goné Aristide, « cette innovation facilite le quotidien des producteurs et productrice de cacao en particulier car elle est facile à mettre en place et réduit considérablement leur coût de production. Nos recherches nous permettent de confirmer l’effet positif de ces biointrants issus des bio fabriques sur le rendement des cacaoyers, sur la fertilité des sols et sur la réduction des ravageurs des cultures. L’innovation a donc un réel impact positif sur les sols et sur la si le revenu des producteurs est productrices ».

Les participants ont apporté leurs critiques au projet et fait des propositions pour améliorer de futures actions similaires.

M. Akomola KOMLAN, Responsable AVSF Côte d’Ivoire, responsable du programme Equité en Afrique de l’Ouest, dans le cadre duquel s’est déroulé le projet Biofabrique, se dit satisfait de la mise en œuvre du projet. « Les différents résultats présentés sont très positifs. Et déjà je tiens à remercier Inades-Formation, les coopératives SCEB et CAMAYE et ETHIQUABLE pour leur implication à la réussite de ce projet. Je suis satisfait parce qu’en Côte d’Ivoire, cette initiative a été rapidement adoptée par les coopératives ». Toutefois, le processus n’est pas encore abouti. D’où ce présent atelier pour capitaliser et recueillir les suggestions pour une éventuelle prochaine étape ou mise à l’échelle.

A la fin de l’atelier, les participants ont dit leur satisfaction d’avoir été associé à cette restitution qui leur a permis de découvrir cette initiative qu’ils ont jugé vraiment appréciable comme en témoigne M. Dosso, chargé d’étude au service engrais de la direction engrais, semence et programmes assimilés du ministère d’Etat, ministère de l’agriculture : « C’est une bonne initiative à encourager, surtout que les producteurs ont été formés à produire leurs propres intrants. C’est une initiative qu’il serait intéressant d’introduire dans les programmes de formation des écoles agricoles. Le besoin des bio intrants est grand et le marché est ouvert. Les jeunes peuvent donc s’y intéresser ».

« À travers les résultats de ce projet pilote, nous souhaitons rendre l’innovation accessible au plus grand nombre de producteurs et productrice de cacao grâce à un appui de nos institutions telles que le Conseil café-cacao et la primature parce que les résultats de ce projet rentrent dans le cadre de la stratégie nationale sur le cacao durable en Côte d’Ivoire. » Conclura M. Aristide Goné, coordonnateur du projet.

Service communication – Inades-Formation  – Secrétariat Général

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Projet ABCD2

Projet ABCD-Un élève un arbre COP28

1. Titre du projet

Accompagnement de la mise à l’échelle des expériences développées par les communautés et des dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques en réponse au problème du changement climatique en Afrique subsaharienne (dit projet ABCD 2)

2. Resumé

Le projet de mise à l’échelle des expériences communautaires et dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques face au changement climatique en Afrique subsaharienne est la continuation d’un premier projet de capitalisation desdites expériences.

En effet, en 2022, sur financement de l’Agence Basque de Coopération au Développement (ABCD), Inades-Formation a mené le projet « Etude-capitalisation des bonnes pratiques face aux défis du changement climatique et gouvernance locale en Afrique subsaharienne », qui a permis de capitaliser 50 expériences dont 31 expériences d’adaptation au changement climatique et 19 expériences de gouvernance dans 11 pays en Afrique sub-saharienne.

Sur la base des acquis de ce projet pilote, quelques réalités vivantes sur les efforts des communautés en matière de lutte contre les problèmes posés par le changement climatique en Afrique ont pu être décelées et capitalisées. Elles ont été développées par une diversité d’acteurs dont des services publics spécialisés sur la gestion de l’environnement et du changement climatique, les organisations de la société civile et les organisations paysannes.

Dans le cadre de cette deuxième phase du projet dont la durée est de 30 mois (2022-2024), l’idée est de (i) mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique et de (ii) soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés.

3. Objectif général

Contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, à travers la promotion à grande échelle des expériences locales et des mesures politiques concertées relatives aux mécanismes d’adaptation, d’atténuation et de résilience des populations vulnérables, surtout les populations rurales en Afrique subsaharienne.

4. Objectifs spécifiques

  • Mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique
  • Soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés

5. Période de réalisation : Juin 2022 à novembre 2024

6. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Le projet est réalisé dans 11 pays : Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d’Ivoire, Kenya, RD Congo, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Tchad et Togo.

7. Partenaire financier

Agence Basque de Coopération et de Développement (ABCD)

9. Partenaires de mise en oeuvre

17 organisations de développement local, porteuses de projets qui dupliqueront dans les bonnes expériences capitalisées dans la phase 1 du projet. Elles ont été sélectionnées sur la base des critères d’évaluation d’efficacité, efficience, pertinence, durabilité et équité basée sur le genre, suite à un appel à projet lancé par Inades-Formation.

Liste des organisations et leurs projets

Pays

Organisation

Titre du projet

1

Burkina Faso

UGF-CDN

Renforcement de la résilience des femmes au changement climatique par la promotion des pratiques agroécologiques. Cas de la ferme agroécologique des femmes de l’Union des Groupements Féminins Ce Dwane Nyee (UGF/CDN), province du Sanguie Région du Centre Ouest Burkina Faso

2

Burkina Faso

Inades-Formation Burkina

Renforcement de l’écocitoyenneté par l’éducation environnementale des élèves de la commune de Arbollé dans la région du nord du Burkina Faso

3

Burundi

Inades-Formation Burundi

Promotion de l’éducation environnementale en milieu scolaire pour faire face au changement climatique

4

Cameroun

FAP NGO CAMEROON

Promotion of Community Initiatives to Protect Common Interest Resources in Cameroon

5

Côte d’Ivoire

CDD-CI

Un élève, un arbre pour lutter contre l’érosion côtière et la disparition des mangroves

6

RD Congo

UWAKI Nord-Kivu

Projet d’appui à la valorisation des semences paysannes dans les unions de Luofu, Kipese et Lubero en territoire de Lubero au Nord-Kivu / RDC. Inspiré de l’expérience de l’Union des groupements Naam de Koumbri au Burkina Faso

7

RD Congo

ACOSYF

L’éducation environnementale à la base pour répondre aux problèmes du changement climatique dans la Chefferie de Kaziba en RD Congo

8

Kenya

Inades-Formation Kenya

The scaling up of experiences developed by communities and the dynamics of school-based re-afforestation initiatives to address climate change in Kenya

9

Rwanda

RECOR Rwanda

Affordable solar pumps for small-scale irrigation, a revolutionary technology to help farmers increase their resilience capacity to climate change issues in Rwanda

10

Rwanda

Inades-Formation Rwanda

Démultiplication de la pratique de greffage des arbres fruitiers pour l’augmentation de la résilience au changement climatique des agriculteurs du district Bugesera

11

Sénégal

7A MAA REWEE

Projet de promotion de la conservation de l’agro-biodiversité par le renforcement des capacités et la documentation des variétés de semences locales au Sénégal

12

Tanzanie

Inades-Formation Tanzanie

Promotion of community seed banks for the conservation of agro-biodiversity through capacity building and documentation of local seed varieties in Kondoa and Chemba Districts of Dodoma Region, Tanzania”

13

Tchad

Inades-Formation Tchad

Promotion de banques de semences, Démultiplier l’Expériences de Seeds Savers Network /Kenya

14

Tchad

ATASANPE Tchad

Démultiplier le projet « Un élève, un arbre » développé par ACOSYF RD Congo

15

Togo

APAD International Togo

La gouvernance des espaces protégés : Cas des flancs de montagne à Agou au Togo

16

Togo

Inades-Formation Togo

Systèmes d’exploitation familiale intégrée continue et compétitive pour une résilience paysanne face au changement climatique dans la commune de Tchamba 2

17

Togo

JVE Togo

Gouvernance des systèmes semenciers locaux auprès des coopératives de femmes de la forêt classée d’Assimé pour la résilience climatique

Projet ACF-AO

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1. Titre du projet

Projet action climatique féministe – Afrique de l’ouest ACF-AO

2. Resumé

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est mis en œuvre en Côte d’Ivoire pour contribuer efficacement à la résilience et à lutte contre les effets du changement climatique par les communautés côtières et insulaires écologiquement sensibles avec un accent particulier sur les femmes rurales et le jeunes. 

Il renforcera les capacités des communautés, des femmes et des jeunes en particulier, pour la mise en œuvre de stratégies de protection de la biodiversité et d’écosystèmes notamment par l’adoption de pratiques agroécologiques, la diversification énergétique et des plaidoyers. Il permettra de renforcer la participation des femmes rurales et des jeunes à la gouvernance locale de la biodiversité et l’action climatique.

Financé par Affaires mondiales Canada | Global Affairs Canada, le projet ACF AO se déroule en Côte d’Ivoire, en Guinée-Bissau, au Sénégal et au Togo.

Il est piloté en Côte d’Ivoire par SUCO et Inades-Formation – Secrétariat Général.

3. Contexte

Les changements climatiques menacent de faire basculer près d’un million d’ivoiriens supplémentaires dans l’extrême pauvreté, d’augmenter le risque de stress hydrique, avec de plus en plus de régions qui devraient voir plus de 10 % de leur population en pénurie d’eau, et d’augmenter la recrudescence des maladies associées à l’air et à l’eau parmi les populations sensibles (Contributions Déterminées au niveau National, CDN-COTE D’IVOIRE, mars 2022). Selon la Banque Mondiale, d’ici 2050, la Côte d’Ivoire sera confrontée à une augmentation de la température de deux degrés Celsius en moyenne, à une plus grande variabilité pluviométrique et une élévation du niveau de la mer de 30 cm le long du littoral (Banque Mondiale, 2018a).

Ces changements climatiques affectent tous les secteurs de développement. Cependant, les différences entre les hommes et les femmes dans leurs rapports avec leur environnement, les différences dans la composition des secteurs économiques et l’accès inégal aux ressources et aux prises de décision amplifieront les impacts des changements climatiques sur certaines catégories de population dont les femmes.

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est donc une réponse à cette réalité.

4. Objectif général

Renforcer l’adaptation aux changements climatiques des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans les régions côtières et insulaires écologiquement sensibles en Côte d’Ivoire.

5. Objectifs spécifiques

  • Accroitre l’influence des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans le plaidoyer politique sur le climat et dans la gouvernance des écosystèmes à forte biodiversité et vulnérables aux changements climatiques.
  • Accroitre l’adoption de solutions basées sur la nature telles que l’agroécologie, la protection et la restauration des écosystèmes et de la biodiversité, pour l’adaptation aux changements climatiques, par les femmes rurales et autochtones et les jeunes.
  • Renforcer la résilience climatique des femmes rurales et autochtones et des jeunes par l’autonomisation économique et la diversification énergétique.

6. Période de réalisation : 2023 - 2026

7. Public cible / bénéficiares: Jeunes 41 % & Femmes rurales et autochtones 59 %

8. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Adiaké, Grand-Bassam, Jacqueville et Grand-Lahou.

9. Actions du projets

·       Diagnostic les obstacles et facteurs facilitant la participation active des groupes cibles dans les instances de décision de la gestion de biodiversité et du climat ;

·       Diagnostics participatifs réalisés par les instances locales sur la vulnérabilité climatique des écosystèmes et identification de mesures et stratégies d’adaptation sensibles au genre ;

·       Formations des femmes rurales et autochtones et les jeunes pour renforcer et maintenir leur participation dans les instances de décision ;

·       Formations des bénéficiaires sur les politiques climatiques et de conservation de la biodiversité ;

·       Formations des communautés participantes en développement des affaires, chaines de valeurs inclusives, gestion de coopérative, et mise en marché direct réalisées

·       Ateliers villageois de sensibilisation et de formation sur les mesures d’atténuation et d’adaptation favorisant la biodiversité et sensibles au genre réalisés dans les communautés participantes.

·       Plans de gestion et d’aménagement des écosystèmes conçus et mis en œuvre dans les communautés participantes.

·       Appui technique et financier aux communautés participantes pour la réalisation de pratiques agro écologiques résilientes au climat (micro-élevage, agroforesterie, maraichage, apiculture et ostréiculture) ; pour renforcer l’accès à l’eau productive, aux intrants et équipements agricoles ; pour l’installation de pépinières et reboisement des écosystèmes côtiers

·       Équipements solaires et éco énergétiques pour la production, la transformation et la conservation des aliments et formations sur l’utilisation et l’entretien des équipements

·       Mise en réseau des femmes et jeunes et plaidoyer

 

·       Appuis et renforcement des systèmes d’épargne et de crédit fournis aux groupements de femmes.

10. Partenaires techniques et financiers

Projet financé par Affaire Mondiale Canada et mis en œuvre par INTERPARES, SUCO et leurs partenaires dont Inades-Formation – Secrétariat Général pour la Cote d’Ivoire.

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