Interview du Secrétaire Général d’Inades-Formation : L’ONG Misereor et ses partenaires mettent en route une plateforme de dialogue Nord-Sud

1.Avec le Dr de Misereor5

Partager cet article

Share on facebook
Share on linkedin
Share on twitter
Share on email

Du  17 au 20 octobre 2023, Misereor, partenaire historique d’Inades-Formation, a réuni, à son siège en Allemagne, des acteurs de développement en un dialogue Sud-Nord sur les pratiques économiques durables sur le thème « Explorer les thèmes et les formes de collaboration « .  Dans cette interview, le Secrétaire Général d’Inades-Formation, M. Sena Adessou qui y a pris part, nous parle de son séjour et des résultats de cette rencontre.

Vous étiez dernièrement à la rencontre organisée par MISEREOR, le dialogue Sud-Nord. Quel était l’objectif de cette rencontre ?

M. Adessou : C’était à Aachen au siège de MISEREOR du 16 au 20 octobre dans le cadre d’une rencontre internationale que MISEREOR à organisé pour ses partenaires en Afrique, en Amérique latine et en Asie.

Il était question de travailler à la mise en place d’une plateforme de dialogue nord-sud autour des alternatives économiques durables. Aujourd’hui, quand on regarde un peu le fonctionnement des sociétés on se rend compte que les sociétés vont mal avec beaucoup de dysfonctionnements. Il devient donc urgent de réfléchir aux mécanismes qui entretiennent ces malaises et travailler à construire de véritables alternatives pour transformer ces sociétés. C’est donc la raison qui sous-tend cette rencontre. Nous étions une vingtaine de participants avec une équipe de MISEREOR qui a animé la session. Pour l’Afrique nous étions 3 participants dont deux de la Côte d’Ivoire et un du Zimbabwe.

L’Europe aussi était présente à ce dialogue à travers la France et l’Allemagne qui nous ont partagé la dimension européenne d’analyse des problèmes. Ce qui nous a aidé dans les travaux.

Après ces travaux comment cette plateforme de dialogue va-t-elle se présenter ?

M. Adessou : En fait, il faut comprendre que durant les 4 jours d’intenses travaux, nous avons eu à nous prêter à des exercices assez intéressants qui nous ont amené à construire des groupes de travail.

A la fin, il y a eu cinq groupes de travail. Le premier groupe a travaillé sur la question de « souveraineté alimentaire et agroécologie », tout ce qui est système alimentaire durable. Le second groupe a travaillé sur la « transition juste », le troisième sur « l’écoféminisme », le 4è sur « l’économie transformationnelle », et le 5è groupe sur la « gouvernance des communs ». L’architecture de cette plateforme qui a été finalement retenue, c’est la mise en place d’une plateforme avec un secrétariat qui sera animé pour l’instant par MISEREOR ; ce secrétariat sera doté d’un comité de pilotage/d’orientation constitué des points focaux des différents groupes de travail que j’ai précédemment cités. Ces points focaux auront pour tâche d’animer périodiquement les groupes de travail.

Nous disons merci à MISEREOR qui a pu mobiliser des ressources auprès de la BMZ (NDLR : la BMZ est l’appellation du ministère fédéral allemand de la coopération économique et du développement) pour la création et le fonctionnement de la plateforme pour les prochaines années (un an et demi) . C’est quelque chose que nous avons vraiment salué. Le défi reste la mobilisation des ressources pour faire fonctionner ladite plateforme après le financement de BMZ et comment garder la dynamique des groupes dans un monde en perpétuelles mutations des pensées.

Pour moi, la plateforme qui va être créée, ne sera qu’un instrument de renforcement du dialogue des peuples. On sent que les peuples ne dialoguent pas suffisamment. Il y a de très bonnes choses qui se déroulent ailleurs qu’on peut exploiter pour créer des processus en Afrique et vice versa. Il est question aujourd’hui à travers cette plateforme d’identifier les meilleures expériences qui se développent dans les 4 coins du monde, de les communiquer et de les utiliser pour construire de véritables mécanismes de transformation ou de véritables alternatives de transformation.

Mgr Pirmin Spiegel, Directeur Général de MISEREOR

Est-il prévu à terme d’étendre la plateforme ?

M. Adessou : Oui, tout à fait. C’est un élément sur lequel je suis revenu à la fin de l’atelier en montrant qu’il y a nécessité de réfléchir encore aux thématiques identifiées comme thématiques de travail. Les thématiques identifiées sont déjà intéressantes, mais il y a certainement de nouvelles thématiques qui peuvent aussi être pensées autour desquelles d’autres groupes de travail pourront être développés pour permettre une construction plus holistique de la plateforme et bien évidemment d’autres régions du monde aussi seront mises à contribution pour des échanges d’expériences et de réflexion mutuelle et globale.

Quelle a été la contribution d’Inades-Formation et est-ce qu’elle a un rôle déjà défini au sein de la future plateforme ?

M. Adessou : Inades-Formation a participé au processus dès le début auprès de MISEREOR. Quand MISEREOR a lancé l’idée, nous avons participé à des sessions virtuelles de réflexion pour la mise en place et le développement de cette plateforme Il y a eu déjà un groupe restreint dans lequel Inades-Formation a travaillé, puis un groupe de travail élargi auquel nous avons également participé. Et donc ce sont les résultats de ces réflexions menées en amont qui ont servi à nourrir la session qui s’est tenue au siège de MISEREOR, en Allemagne. Lors de l’atelier, Inades-Formation a choisi de participer aux travaux du groupe « souveraineté alimentaire et agroécologique » qui est la colonne vertébrale de notre travail depuis presque 50 ans.

Vous avez certainement fait de belles rencontres à cet atelier. Quelles sont celles qui vous ont le plus marqué ?

M. Adessou  : En tant que Secrétaire Général, depuis ma prise de fonction j’ai collaboré avec MISEREOR sans toutefois connaître son Directeur Général, Mgr Pirmin Spiegel.

Durant cette mission, nous avons eu la chance de le rencontrer. Il a ouvert l’atelier, et malgré son agenda très chargé, nous avons pu nous entretenir avec lui, discuté un peu de nos visions personnelles et institutionnelles et parlé du partenariat.

Nous avons profité de l’occasion pour remercier Misereor pour tout l’appui qu’il nous apporte ; appui financier et technique. Comme vous le savez, Misereor a commencé la marche avec Inades-Formation depuis les années 75. C’est vraiment à la création d’Inades-Formation, en tant qu’association internationale. C’est un chemin qui a été long, un chemin qui a été très enrichissant pour les 2 partenaires et nous avons tenu à dire un grand merci au directeur général de Misereor, surtout en ce qui concerne le financement de la construction du siège ; qui d’ailleurs n’a pas manqué de nous féliciter pour l’excellent travail que nous faisons avec l’appui de notre conseil d’administration international.

Il n’a pas manqué de nous informer qu’il sera encore heureux de nous accueillir l’année prochaine puisque nous lui avons fait savoir que dans le cadre du fonctionnement de Inades-Formation nous avons prévu de rendre visite officiellement à Misereor l’année prochaine dans un cadre plus formel que celui de cette session d’atelier.

Enfin, nous en avons pu lui offrir quelques gadgets pour lui témoigner toute notre reconnaissance et ce qui l’a le plus marqué c’est le pin’s d’Inades-Formation.

M. Adessou posant avec une ex collaboratrice de Misereor

Alors un dernier mot sur cette rencontre  ?

M. Adessou  : Misereor reste pour nous un partenaire privilégié. La chance que nous avons eue à découvrir Misereor dans le cadre de cette mission nous a permis de voir un peu la grandeur de ce partenaire. Nous avons la chance de collaborer avec Misereor et je tiens à souligner que nous devons véritablement œuvrer, quand je dis « nous », je parle de tout le réseau, pour que ce partenariat perdure.

J’ai également pu rencontrer physiquement dans le cadre de cette mission, d’autres employés de Misereor avec qui nous collaborons. Malheureusement certains étaient en mission particulièrement Sabine et Maria.

Continuez votre lecture...

Emplois

INADES-Formation Secrétariat Général recherche un(e) Comptable

Présentation d’INADES-Formation L’Institut africain pour le développement économique et social-Centre Africain de Formation (INADES-Formation), est une Association internationale de droit ivoirien, créée depuis 1975 et reconnue

Projet ABCD2

Projet ABCD-Un élève un arbre COP28

1. Titre du projet

Accompagnement de la mise à l’échelle des expériences développées par les communautés et des dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques en réponse au problème du changement climatique en Afrique subsaharienne (dit projet ABCD 2)

2. Resumé

Le projet de mise à l’échelle des expériences communautaires et dynamiques de suivi citoyen des politiques publiques face au changement climatique en Afrique subsaharienne est la continuation d’un premier projet de capitalisation desdites expériences.

En effet, en 2022, sur financement de l’Agence Basque de Coopération au Développement (ABCD), Inades-Formation a mené le projet « Etude-capitalisation des bonnes pratiques face aux défis du changement climatique et gouvernance locale en Afrique subsaharienne », qui a permis de capitaliser 50 expériences dont 31 expériences d’adaptation au changement climatique et 19 expériences de gouvernance dans 11 pays en Afrique sub-saharienne.

Sur la base des acquis de ce projet pilote, quelques réalités vivantes sur les efforts des communautés en matière de lutte contre les problèmes posés par le changement climatique en Afrique ont pu être décelées et capitalisées. Elles ont été développées par une diversité d’acteurs dont des services publics spécialisés sur la gestion de l’environnement et du changement climatique, les organisations de la société civile et les organisations paysannes.

Dans le cadre de cette deuxième phase du projet dont la durée est de 30 mois (2022-2024), l’idée est de (i) mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique et de (ii) soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés.

3. Objectif général

Contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, à travers la promotion à grande échelle des expériences locales et des mesures politiques concertées relatives aux mécanismes d’adaptation, d’atténuation et de résilience des populations vulnérables, surtout les populations rurales en Afrique subsaharienne.

4. Objectifs spécifiques

  • Mettre à l’échelle ces bonnes expériences développées par les communautés dans les pays Africains, en matière d’adaptation, atténuation et résilience face au changement climatique
  • Soutenir les dynamiques de suivi citoyen des cadres politiques et réglementaires associés

5. Période de réalisation : Juin 2022 à novembre 2024

6. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Le projet est réalisé dans 11 pays : Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d’Ivoire, Kenya, RD Congo, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Tchad et Togo.

7. Partenaire financier

Agence Basque de Coopération et de Développement (ABCD)

9. Partenaires de mise en oeuvre

17 organisations de développement local, porteuses de projets qui dupliqueront dans les bonnes expériences capitalisées dans la phase 1 du projet. Elles ont été sélectionnées sur la base des critères d’évaluation d’efficacité, efficience, pertinence, durabilité et équité basée sur le genre, suite à un appel à projet lancé par Inades-Formation.

Liste des organisations et leurs projets

Pays

Organisation

Titre du projet

1

Burkina Faso

UGF-CDN

Renforcement de la résilience des femmes au changement climatique par la promotion des pratiques agroécologiques. Cas de la ferme agroécologique des femmes de l’Union des Groupements Féminins Ce Dwane Nyee (UGF/CDN), province du Sanguie Région du Centre Ouest Burkina Faso

2

Burkina Faso

Inades-Formation Burkina

Renforcement de l’écocitoyenneté par l’éducation environnementale des élèves de la commune de Arbollé dans la région du nord du Burkina Faso

3

Burundi

Inades-Formation Burundi

Promotion de l’éducation environnementale en milieu scolaire pour faire face au changement climatique

4

Cameroun

FAP NGO CAMEROON

Promotion of Community Initiatives to Protect Common Interest Resources in Cameroon

5

Côte d’Ivoire

CDD-CI

Un élève, un arbre pour lutter contre l’érosion côtière et la disparition des mangroves

6

RD Congo

UWAKI Nord-Kivu

Projet d’appui à la valorisation des semences paysannes dans les unions de Luofu, Kipese et Lubero en territoire de Lubero au Nord-Kivu / RDC. Inspiré de l’expérience de l’Union des groupements Naam de Koumbri au Burkina Faso

7

RD Congo

ACOSYF

L’éducation environnementale à la base pour répondre aux problèmes du changement climatique dans la Chefferie de Kaziba en RD Congo

8

Kenya

Inades-Formation Kenya

The scaling up of experiences developed by communities and the dynamics of school-based re-afforestation initiatives to address climate change in Kenya

9

Rwanda

RECOR Rwanda

Affordable solar pumps for small-scale irrigation, a revolutionary technology to help farmers increase their resilience capacity to climate change issues in Rwanda

10

Rwanda

Inades-Formation Rwanda

Démultiplication de la pratique de greffage des arbres fruitiers pour l’augmentation de la résilience au changement climatique des agriculteurs du district Bugesera

11

Sénégal

7A MAA REWEE

Projet de promotion de la conservation de l’agro-biodiversité par le renforcement des capacités et la documentation des variétés de semences locales au Sénégal

12

Tanzanie

Inades-Formation Tanzanie

Promotion of community seed banks for the conservation of agro-biodiversity through capacity building and documentation of local seed varieties in Kondoa and Chemba Districts of Dodoma Region, Tanzania”

13

Tchad

Inades-Formation Tchad

Promotion de banques de semences, Démultiplier l’Expériences de Seeds Savers Network /Kenya

14

Tchad

ATASANPE Tchad

Démultiplier le projet « Un élève, un arbre » développé par ACOSYF RD Congo

15

Togo

APAD International Togo

La gouvernance des espaces protégés : Cas des flancs de montagne à Agou au Togo

16

Togo

Inades-Formation Togo

Systèmes d’exploitation familiale intégrée continue et compétitive pour une résilience paysanne face au changement climatique dans la commune de Tchamba 2

17

Togo

JVE Togo

Gouvernance des systèmes semenciers locaux auprès des coopératives de femmes de la forêt classée d’Assimé pour la résilience climatique

Projet ACF-AO

WhatsApp Image 2023-08-24 at 15.13.12

1. Titre du projet

Projet action climatique féministe – Afrique de l’ouest ACF-AO

2. Resumé

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est mis en œuvre en Côte d’Ivoire pour contribuer efficacement à la résilience et à lutte contre les effets du changement climatique par les communautés côtières et insulaires écologiquement sensibles avec un accent particulier sur les femmes rurales et le jeunes. 

Il renforcera les capacités des communautés, des femmes et des jeunes en particulier, pour la mise en œuvre de stratégies de protection de la biodiversité et d’écosystèmes notamment par l’adoption de pratiques agroécologiques, la diversification énergétique et des plaidoyers. Il permettra de renforcer la participation des femmes rurales et des jeunes à la gouvernance locale de la biodiversité et l’action climatique.

Financé par Affaires mondiales Canada | Global Affairs Canada, le projet ACF AO se déroule en Côte d’Ivoire, en Guinée-Bissau, au Sénégal et au Togo.

Il est piloté en Côte d’Ivoire par SUCO et Inades-Formation – Secrétariat Général.

3. Contexte

Les changements climatiques menacent de faire basculer près d’un million d’ivoiriens supplémentaires dans l’extrême pauvreté, d’augmenter le risque de stress hydrique, avec de plus en plus de régions qui devraient voir plus de 10 % de leur population en pénurie d’eau, et d’augmenter la recrudescence des maladies associées à l’air et à l’eau parmi les populations sensibles (Contributions Déterminées au niveau National, CDN-COTE D’IVOIRE, mars 2022). Selon la Banque Mondiale, d’ici 2050, la Côte d’Ivoire sera confrontée à une augmentation de la température de deux degrés Celsius en moyenne, à une plus grande variabilité pluviométrique et une élévation du niveau de la mer de 30 cm le long du littoral (Banque Mondiale, 2018a).

Ces changements climatiques affectent tous les secteurs de développement. Cependant, les différences entre les hommes et les femmes dans leurs rapports avec leur environnement, les différences dans la composition des secteurs économiques et l’accès inégal aux ressources et aux prises de décision amplifieront les impacts des changements climatiques sur certaines catégories de population dont les femmes.

Le Projet « Action climatique féministe en Afrique de l’Ouest » est donc une réponse à cette réalité.

4. Objectif général

Renforcer l’adaptation aux changements climatiques des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans les régions côtières et insulaires écologiquement sensibles en Côte d’Ivoire.

5. Objectifs spécifiques

  • Accroitre l’influence des femmes rurales et autochtones et des jeunes dans le plaidoyer politique sur le climat et dans la gouvernance des écosystèmes à forte biodiversité et vulnérables aux changements climatiques.
  • Accroitre l’adoption de solutions basées sur la nature telles que l’agroécologie, la protection et la restauration des écosystèmes et de la biodiversité, pour l’adaptation aux changements climatiques, par les femmes rurales et autochtones et les jeunes.
  • Renforcer la résilience climatique des femmes rurales et autochtones et des jeunes par l’autonomisation économique et la diversification énergétique.

6. Période de réalisation : 2023 - 2026

7. Public cible / bénéficiares: Jeunes 41 % & Femmes rurales et autochtones 59 %

8. Zone de réalisation / d'intervention du projet

Adiaké, Grand-Bassam, Jacqueville et Grand-Lahou.

9. Actions du projets

·       Diagnostic les obstacles et facteurs facilitant la participation active des groupes cibles dans les instances de décision de la gestion de biodiversité et du climat ;

·       Diagnostics participatifs réalisés par les instances locales sur la vulnérabilité climatique des écosystèmes et identification de mesures et stratégies d’adaptation sensibles au genre ;

·       Formations des femmes rurales et autochtones et les jeunes pour renforcer et maintenir leur participation dans les instances de décision ;

·       Formations des bénéficiaires sur les politiques climatiques et de conservation de la biodiversité ;

·       Formations des communautés participantes en développement des affaires, chaines de valeurs inclusives, gestion de coopérative, et mise en marché direct réalisées

·       Ateliers villageois de sensibilisation et de formation sur les mesures d’atténuation et d’adaptation favorisant la biodiversité et sensibles au genre réalisés dans les communautés participantes.

·       Plans de gestion et d’aménagement des écosystèmes conçus et mis en œuvre dans les communautés participantes.

·       Appui technique et financier aux communautés participantes pour la réalisation de pratiques agro écologiques résilientes au climat (micro-élevage, agroforesterie, maraichage, apiculture et ostréiculture) ; pour renforcer l’accès à l’eau productive, aux intrants et équipements agricoles ; pour l’installation de pépinières et reboisement des écosystèmes côtiers

·       Équipements solaires et éco énergétiques pour la production, la transformation et la conservation des aliments et formations sur l’utilisation et l’entretien des équipements

·       Mise en réseau des femmes et jeunes et plaidoyer

 

·       Appuis et renforcement des systèmes d’épargne et de crédit fournis aux groupements de femmes.

10. Partenaires techniques et financiers

Projet financé par Affaire Mondiale Canada et mis en œuvre par INTERPARES, SUCO et leurs partenaires dont Inades-Formation – Secrétariat Général pour la Cote d’Ivoire.

FondAfrica

Inades-Formation
Au service du Bien Commun

FondAfrica

Inades-Formation vous remercie pour votre soutient  pour ses actions de développement économique et social en faveur du monde rural.

Votre don sera reversé au destinataire que vous avez choisi.

Suivez-nous en vous abonnant à notre newsletters.

Inades-Formation
Au service du Bien Commun

FondAfrica

1. Qu'est-ce que c'est ?

Le Fonds Africain d’appui au développement rural (FondAfrica) a été porté sur les fonts baptismaux le 23 juillet 1997 à Dar-es-Salaam en Tanzanie, à la suite d’un constat : le développement de l’Afrique ne passera que par son auto-financement.

FondAfrica est un appel à la générosité publique à travers des actions de collecte auprès des personnes physiques et morales.

2. Pourquoi faire un don ?

FondAfrica est un instrument particulier de la stratégie de financement d’Inades-Formation. FondAfrica a formulé sa vision à moyen terme ainsi qu’il suit « Dans 10 ans, et grâce aux revenus issus des fonds collectés par le Fondafrica, Inades-Formation aura porté sa capacité d’autofinancement des services rendus au monde rural africain à 40 % ».

Voulez-vous soutenir Inades-Formation dans ses actions de développement économique et social en faveur du monde rural? Si oui, alors agissez à travers FondAfrica en faisant un don.